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À l'aube des origines: La légende d'Argassi V Deuxième partie

Chapitre 3 No.3

Nombre de mots : 1760    |    Mis à jour : 14/09/2022

oux. Pas un bruit dans la pièce. Elle tourna la tête ve

’est-ce pas ? laissa-t-il tomber

atre L par deu

venu pour que

oigts d’or le pre

d’en haut, de l’has

Il connaissait la pré

er, sijiyin ? demanda

gnit l’é

r te tuer, Alakhar ? Je te rappelle

issa un

ectiv

erchait à percer ses

avec la sijiyin nommée Er

e cill

utre, rencontrés dans une plaine lors d’un

à la scruter

ur moi, que viens-tu f

pondit

je me suis retrouvée ici bien malgré moi, en quelque sorte en transit, e

un sourire

ce ne sera pa

ha vers le mur. Le

bon te semble, mais ne tente pas de t’enfuir. Tu n’ir

t referma d

t doucement le clavier et caressa le piano, soulagée. Avec lui, elle se sentirait moins seule ! Puisqu’elle pouvait circu

lait-elle

posé, les deux espaces communiquaient. Elle la quitta et après plusieurs couloirs, arriva aux mabhati maintenant déserts qu’elle parcourut jusqu’au Quiba. Les sijiyin s’y côtoyai

n de quelque

nait derrière elle, aux ord

elles puisque vou

ci que le maître h

vec ses geest, vu leur nombre et le peu de temps dont il disposait pour agi

x dire, que deviennent-elles lorsq

les des

sourcils. Encor

a pr

nt pas pu procré

uiesça e

joignent l

n l’avait bien expliqué, le Quiba se situait en droite ligne au-dessus du volcan ! Elle leva machinalement la tête. Des mètres plus haut, le monumental dôme aux vitraux multicolores filtrait la lumière du jour. Oui… elle avait emprunté cette voie lorsqu’Alakhar s’était extra

n… murmura-t-

un sourire

acte

le sort de ses semblables, nullement affectée par le fait

n de temps vis-

rs ! répondit-e

regarda,

vraiment ? R

yin se

ne me rap

songeuse, les fem

nquent-elles pas ? Ne pen

regarda

lle ! Isydna nous a choisies pour le servir et chaque jou

pas de mourir d

négligemment

Aller dans le creuset n’est pas mourir. L

d’une bénédiction ou d’une fatalité, mais d’une mo

nt la tête et pressa

sur l’Ardaltanïnn et tout disparaîtra ! Si vous acceptez mon a

pourquoi donc ? Isy

ndulgence, un œil envie

la marque sacrée des Tanïnn ! Tu es réellement l’Élue attendue par Diyi

pable d’entendre raison. Elle contempla, découragée, ses compagnes d

s nouvelles de ses amis, elle ne pouvait qu’attendre

les lui répondaient toujours poliment, leurs propos centrés uniquement sur leur mission sacrée. Elle avait cherché à stimuler leurs souvenirs, mais à l’exemple de Bilha, s’était heurtée au vide, comme si rien n’avait existé avant le Quiba et de guerre lasse, avait renoncé. Elle avait visité le maskaan, leur dortoir, longue pièce de marbre blanc où les lits se suivaient alignés les uns à côté des autres, prolo

geait parfois sur les morceaux choisis et elle lui racontait l’histoire de leur création et de leurs auteurs. Elle le sentait curieux de son art et réceptif à la musique, terrain neutre au sein d

ider la cause des sijiyin et demander leur libération. Elle avait argué de sa présence qui ne justifiait plus le

Elle avait ainsi exploré tous les niveaux, excepté naturellement, les parties basses souterraines où œuvraient les eabd don

ayda était ceinte d’un écran protecteur, mur invisible contre lequel son esprit rebondissait

er ? Elle avait fini par fouiller l’esprit de ses gardiens et avoir confirmation du débarquement du Rayiys avec son chargement d’eabd, deux jours après sa propre arrivée, mais après, plus rien. Volatilisé ! Total

tes de neige et le blizzard avaient cessé et fait place à un ciel d’un bleu implacable, l’air chargé d’électricité. La neige s’était durcie, devenue glace et la température n’arrêtait pas

montait, palpable. Plus qu

ra rongeait son frein, avec po

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