À l'aube des origines: La légende d'Argassi V Deuxième partie
oux. Pas un bruit dans la pièce. Elle tourna la tête ve
'est-ce pas ? laissa-t-il tomber
atre L par deu
venu pour que
oigts d'or le pre
d'en haut, de l'has
Il connaissait la pré
er, sijiyin ? demanda
gnit l'é
r te tuer, Alakhar ? Je te rappelle
issa un
ctivem
erchait à percer ses
avec la sijiyin nommée Er
e cill
utre, rencontrés dans une plaine lors d'un
à la scruter
ur moi, que viens-tu f
pondit
je me suis retrouvée ici bien malgré moi, en quelque sorte en transit, et
un sourire
ce ne sera pas
ha vers le mur. Le
bon te semble, mais ne tente pas de t'enfuir. Tu n'irai
t referma d
t doucement le clavier et caressa le piano, soulagée. Avec lui, elle se sentirait moins seule ! Puisqu'elle pouvait circu
lait-elle
posé, les deux espaces communiquaient. Elle la quitta et après plusieurs couloirs, arriva aux mabhati maintenant déserts qu'elle parcourut jusqu'au Quiba. Les sijiyin s'y côtoyai
n de quelque
nait derrière elle, aux ord
elles puisque vou
ci que le maître h
vec ses geest, vu leur nombre et le peu de temps dont il disposait pour agi
dire, que deviennent-elles lorsque..
les des
sourcils. Encore
a pr
nt pas pu procré
uiesça e
joignent l
n l'avait bien expliqué, le Quiba se situait en droite ligne au-dessus du volcan ! Elle leva machinalement la tête. Des mètres plus haut, le monumental dôme aux vitraux multicolores filtrait la lumière du jour. Oui... elle avait emprunté cette voie lorsqu'Alakhar s'était ext
... murmura-t-
un sourire
acte
le sort de ses semblables, nullement affectée par le fait
n de temps vis-
rs ! répondit-e
regarda,
vraiment ? R
yin se
ne me rap
songeuse, les fem
nquent-elles pas ? Ne pen
regarda
lle ! Isydna nous a choisies pour le servir et chaque jou
pas de mourir d
négligemment
Aller dans le creuset n'est pas mourir. L
d'une bénédiction ou d'une fatalité, mais d'une mo
nt la tête et pressa
ra sur l'Ardaltanïnn et tout disparaîtra ! Si vous acceptez mon
pourquoi donc ? Isy
ndulgence, un œil envie
la marque sacrée des Tanïnn ! Tu es réellement l'Élue attendue par Diyi
pable d'entendre raison. Elle contempla, découragée, ses compagnes d
s nouvelles de ses amis, elle ne pouvait qu'attendre
les lui répondaient toujours poliment, leurs propos centrés uniquement sur leur mission sacrée. Elle avait cherché à stimuler leurs souvenirs, mais à l'exemple de Bilha, s'était heurtée au vide, comme si rien n'avait existé avant le Quiba et de guerre lasse, avait renoncé. Elle avait visité le maskaan, leur dortoir, longue pièce de marbre blanc où les lits se suivaient alignés les uns à côté des autres, prolo
geait parfois sur les morceaux choisis et elle lui racontait l'histoire de leur création et de leurs auteurs. Elle le sentait curieux de son art et réceptif à la musique, terrain neutre au sein d
ider la cause des sijiyin et demander leur libération. Elle avait argué de sa présence qui ne justifiait plus le
Elle avait ainsi exploré tous les niveaux, excepté naturellement, les parties basses souterraines où œuvraient les eabd don
ayda était ceinte d'un écran protecteur, mur invisible contre lequel son esprit rebondissait
er ? Elle avait fini par fouiller l'esprit de ses gardiens et avoir confirmation du débarquement du Rayiys avec son chargement d'eabd, deux jours après sa propre arrivée, mais après, plus rien. Volatilisé ! Total
tes de neige et le blizzard avaient cessé et fait place à un ciel d'un bleu implacable, l'air chargé d'électricité. La neige s'était durcie, devenue glace et la température n'arrêtait pas
ontait, palpable. Plus que
ra rongeait son frein, avec po