Ma coepouse bien aimée - Tome 3

vais m’écrouler devant tout le monde. Tous le

is quoi ici ? Tu es cen

je m’e

e tire le bras de Samir et nous s

u’il se passe ici ? V

pondre. Nous arrivons au bout du co

: Sa

. Une heure Amaira, pour mett

n supplie ne

rois que je vais te laisser jouer

anquer un seul détail. Je te jure que je ne joue pas avec lu

es avec lui. Tu te maries avec lui pour te ve

tué ma sœur tu le sais au moins n’est-ce pas ? Tu sais ce que ça fait d’aller enterrer un enfant de 5 ans, un enfant qui n’a rien demandé,

e ? Tu crois que tu te maries avec lui pour te venger mai

i

n à voir avec ce mariage, ar

i tu t’énerve ? Si tu sai

n train de l’utiliser, j

sser mais je lu

ux). Va lui dire la verité ! Et je prendrai un malin plaisir

ir

donne la voie. Va

pris au piège

ettant un coup de

seul et qu’il est sur le point de casser quelque chose, tell

ne va pas ou quoi ? Qu

le regard douloureux et se met

rouver ce soir. Et toi aussi (s’adressant à m

ent paniquée. Je viens de me rendre comp

Les Chroni

:

lons continu

nt toute la réunion je ne faisais que repenser aux mots de Samir. J’ai te

bout, mais je ne veux pas que ce mensonge dure et lui fasse du mal plus ta

a tête je vois mo

ce qu’il se passe ? Je

je travaillais comme leur bonne et qu’il me criait dessus souvent, je ne le suppor

: j’at

t. Ton frère es

tête, et fron

rompu(continuant). Et c’est p

et toi vous connaissez ? Et il est furieu

’est crois

étais chez ton ex

uh. On s’est juste…écoute c’est une histoire compliqu

loigne

: tu m

lée (je m’approche

sais mon frère mais

’était pas

ui sait ce que tu as e

ce les

ce que tu ess

aimes toujo

garder et je tourne les talons. Comment est-ce qu’il peut penser ça de moi ? Il raco

que ce que je pensais. Elle a peur d’une revenante mais visiblement, pas assez pour s’en aller d’ici. Je me ferme à nouveau dans la chambre et prends les documents de Djalika qui étaient prov

je me lève, je me change pour mettre une tenue toute simple et je sors pour aller faire

oi puis je vous

un poison très rare, je

s plusieurs ici, vous

nce à chercher. Je vis le nom de

ux celui-là

e grand

voulez faire qu

osez pas d

aire du mal à quelqu’un. Je ne veux pas qu

problème. Dans ce cas pour

ent pour fabriquer des médicaments ou

e comptoir. Ça avait dégagé de la poussière, ce qui m’a fait tou

ne :

e. Il prend un verre et se rafraichit

ble et je ne sais pas si je pourrai y arriver. Je ne m’imagine pas dormir avec quelqu’un et ne pas lui parler. C’est

uché à côté de moi mes yeux se sont ouverts. Personne ne parlait, je ne faisais que le regarder du coin de l’œil. Puis, ne tenant plus, je me suis levé et j’a

oi. Les lumières étaien

et viens dormir moi

st bon, retou

u travail même. Je va

raiment nécess

ian

peine qu’on se fâche et que tu arrê

: tu m’a

ère mais ça a quelle importance dis-moi ? Est-ce que c’est avec lui que je suis mariée ? (Ma voix se brisa) C’est toi qui es mon mari, c’est avec toi que j

ur monter, pour être le plus loin possible de lui mais il me retient p

Les Chroni

he-moi (e

: tu p

a arrangé durant des jours et tu as pu te passer d

l’impression qu’il me m

le. Et ma colère s’e

dit que tu connais déjà mon frère. En plus au diner avec mes parents on a voulu te le passer au téléphone mais tu as fui dans les toil

voir son beau visage mais je le regardais quand m

tu m’a

je me mis à haleter. Je glisse mes mains sous son haut et elles caressèrent ses tablettes de chocolat.

(le suppli

l le suce, le mordille et pince l’autre avec sa main. J’étais assise et il était acc

ne peut pas le faire ici

main, je soulève sa têt

n allait dans

aison, je n’ai pa

yais terminer la soirée seule au salon et

tourne vite la tête. C’était Sara qui sortait en courant. Mdr. Mais meuf, si tu as peur divorce non ? Cet amo

aissé. Je m’approche et je vis qu’il était à moitié vide, ce qu

**

je parle

que le marabout

tout. Je t’ai dit en tout cas d’ar

son foyer. Moi je suis sur le point de perdre le mien, si ce n’est déjà f

st ce qu’i

ol, pleurant et criant. Comme si…comme si on venait de leur ann

’EST A CAUSE DE VOUS QUE MON MARI EST MORT. BANDES DE FEMMES FRUSTREES. LE MARABOUTAGE L

tant bien que mal. Je prends mes jambes à mon cou, suivie de Myriam. Elles nous frap

eurer alors qu’elle conduisait en vitesse) Myriam je

oui, c’

mme des madeleines. Qui va enlever cette bague de

…

ose. Heureusement qu’elle était loin de moi, je me serai évanoui. Si je reste toujours ici, à dormir dans la même maison qu’une re

ts à réfléchir. Qui va m’enlever cette bague ? Qui ? Un autre marabout ? Le charlatan m’avait bien

n estomac commençait à se crisper, je sentais ma gorge

dans les yeux et je tremble. Mes cheveux se hérissent sur ma tête et

enir comme ça un jour. Mes larmes se mettent à couler, je lui crie de cesser de me hanter

des larmes. Je regarde mon pot

tu as…

e je connais tellement bien. Je me mets à hurler, j’ouvre l’autre armoire pour prendre un verre et boire de l’eau et calmer mon mal mais elle était comme l’autre. Remplie de ces fl