Le frère de mon fiancé
itre
nos deux langues et les caresses qu'elles se faisaient. Etre dans ses bras me procurait déjà un plaisir inouï. Que dire donc de son baiser ? Le contexte y était certainement pour
os langues étaient des âmes-sœur qui se comprenaient. Endiablées dans une valse étourdissante. Patrick me faisait découvrir un tout autre monde. Un tout autre sens du mot plaisir. Ce
sentis comme une décharge électrique. Il se mettait à toucher une partie très sensible de mon anatomie. Alors qu'il continuait de m'embrasser, avec plus de fougue et plus de pression, il s'amusait avec mon sein. Je sentais des picotements dans mon ventre. J'a
nscients. Mais surtout deux personnes cruelles. Thomas ! Il ne devait surtout pas app
il avala d'un trait. Et aussitôt il se resservit. Ça d
ue Thomas sache ce qui
t jamais rien savoir. Il nous tuerait tous les deux. Tu dois
. Je veux juste m'assurer que toi aussi. Il
a en jogging et tes habits
de l'eau. Il n'y a jamais eu de bouche-à-bouche, tu ne m'as pas déshabillé.
censé dormir ici. Je ne l'avais jamais fait et avec ce qui s'était passé ce soir, il était hors de question que je dorme ici. Il était plus de 22 heures mais je pouvais prendre un taxi en dépôt pour rentrer à la maison. Oui j'allais rentrer et Thomas et moi on allait se revoir après. Le gardien pouvait aller me trouver un taxi. J'a
est-ce que t
rs le verre de whisky à la main. Il avait de toute évidence décidé de se saouler. C'
: che
heure ? Et Thomas v
censée dormir ici. Je
te raccompagne. Tu ne devrais pas
r ? D'être avec lui tout en sachant ce que je venais de fai
main. Je suis épuisée, je préfère r
aissé partir toute seule dans la nuit.
s la peine. Je ne
sais. Mais je te rac
r dire à son frère que je suis une fille légère ? Peut-être que tout ça était calculé. Peut-être avait-il fait exprès
ressorti cinq minutes plus tard
moi. On va pre
Je préfère prendre l
rochant de moi, moins tu résisteras
elle m'enivrait ! Elle le rendait encore plus désirable. Il me dévisageait. Mais là je sentais de la colère
porter comme ça. J'ai agi en égoïste. Me jeter sur la future épouse
t désemparé. Et ça
rassé et je t'ai laissé faire. Je ne t'ai à aucun moment repoussé. J'aurais
uoi tu m'as lais
avoir. Et puis moi je ne te deman
y. Je ne sais pas à quoi c'est dû mais c'est comme ça. Et quan
avec la même fougue. Je sentais ses lèvres se rapprocher lorsque j'entendis le portail s'ouvrir. Th