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Le frère de mon fiancé

Chapitre 2 Chapitre 02

Nombre de mots : 3562    |    Mis à jour : 03/08/2022

pit

Le petit-frère de Thomas ? Me suis-je dit intérieurement. Et comme ils étaient un peu éloig

ait arqué ce qui lui donnait une démarche d’enfer. Et son visage. Un visage d’ange et de gladiateur réunis. Patrick était terriblement sexy. Sa chemise blanche comme la neige faisait re

a future épouse. Cathy, Pa

eurs 30 secondes avant de répondre :

mariage avait été arrêté il y a seulement six mois. Avant Thomas et moi ne nous fréquentions même pas. Nos familles respectives allaient dans la même église. C’est ainsi que Thomas m’avait remarqué. Travaillant aux côtés de son père pour reprendre les rênes, i

s. J’étais discrète. En plus, il avait un ascendant sur moi : il était plus âgé que moi, dix ans de différence et était pl

rick. Dis-je avec une certaine ti

sexyyyyyyyyyyyyy !!!!!!!!!! « Non qu’est ce qui me passe par la tête ? Je

……

bien. Très blagueur, Pat racontait les anecdotes insolites de la France. Il donnait

ravie de faire partie

fais pas enco

question de jours mon amour.

ppelé ainsi. Devant les gens il avait

Plus qu’une qu

ais tu es he

nce ! On l’a e

ien sûr

de quoi je me mêle ? Contrairement à ce que pensait Thomas, je n’étais pas sûr de m’entendr

son. Thomas avait une superbe villa à Bonapriso. Une maison construite par son père. Qu

nous sers quelqu

s fois où j’étais venu ici, il s’occupait toujours de tout. Je me contentais d’être reçue. Maintenant il voulait

ois que les verr

ui lancer un regard foudroyant.

s. Je pensais

ison. Par la suite, Thomas a reçu un coup de fil. L’air bouleversé par cet appel, i

ne heure maxi. Pat j’espère que tu n’as pas t

Ma future belle-sœur et mo

hose. Comme si il allait enlever tous mes vêtements et me scruter. Non mais à quoi je pensais ?

dans la vie Cathy ? M’

s en 5e année

n a donc pratiquement

Faut

ubler par le frère de mon fiancé ? Quand je dis que moi j’aime les choses compliquées ! Pour l’éviter davantage, je décidai d’aller prendre de l’air dehors au bord de la piscine en prétextant que je devais téléphoner. Et sans véritable raison

r. Parce que Patrick ne semblait pas m’entendre. Au moment où j’avais besoin qu’il s’intéresse à moi, qu’il me suive comme un chien en chaleur, c’est là que le connard était indifférent. Plus j’essayais de me battre, de crier, de remonter à la surface, plus

……

raient pas. Je n’y arrivais pas. Et la voix continuait de me supplier d’ouvrir les yeux. Une voix familière, mais surtout chaude, et qui dégageait une certaine force. Une voix qui semblait tenir à moi. Une voix que je prenais plaisir dans mon inconscience à écouter. Et alors que je sentais une autre pre

. Décidément ! Ce Patrick était certainement envoyé par le Diable pour me tenter. Ne dis-t-on pas

y. Ne t’agite pas, re

sentais sur ma bouche. Mon Dieu

Cathy. Tu dois reprendr

je respirais encore diffici

st à ça que tu penses ? Reste calme.

omplètement trempée. On aurait dit un mollusque, je n’avais pas de force. Choquée par ce qui venait de m’arriver. J’avais encore l’impression d’avoir un poids dans mes poumons. J’avais vu dans un film que l’on pouv

i Cathy s’il te plaî

vrir la fermeture de ma robe. Mais que faisait-il ? Voula

e Cathy. Il faut que je t’enlève ça

tements. J’avais mis un string. Mon Dieu ! J’aurais pu mettre ce jour-là une culotte. Au moins il n’aurait pas vu mes fesses. Quelle honte ! Mais pourquoi Diable je ne savais pas nager. Pourquoi Diable j’étais allé faire mon numéro d’équilibriste au bord de la piscine. Non mais Cathy qu’est-ce que tu croyais ? Tu fuyais le gars et maintenant le voilà qui est si près de toi qu’il voit ton anatomie. Il m’avait laissé deux minutes dans les toilettes. J’étais assise sur

Il me regarda avec une telle profondeur que

ésolé Cathy mais il

l me fit lever. Là je crus rêver. Mais

ès gênant mais tu dois tout enl

’arrivaient pas à sortir de ma bouche. M

’accord ? Et si ça te gêne tant que ça, on ne racontera pa

cher de penser qu’il n’avait même pas l’air perturbé par le fait de voir la nudité de la fiancée de son frère. Il avait l’air très concentré par le fait de me fair

Comment t

e. Encore choquée pa

Je vais voir ce qu’il y a dans la cuisi

de mon fiancé. Ce n’était pas moi ça. Je me mis à pleurer. Je ne pouvais même pas me confier à quelqu’un. C’était horrible ! J’imaginais ma mère. Elle serait certainement

t me trouva ent

athy pourquo

trick était le diable en personne. J’espérais seulement q

sse-moi s’

pas te laisser. Tu es mal

S’il te

de pleurer s’il te plaît. Relève

bon. Je peux le f

e. Reste tranquille

na à manger tranquillement comme à un petit bébé. Personne ne parlait. Je n’ouvrais la bouche que pour recevoir les cuil

bon. Je suis

ement rien mangé Cathy. Fa

os estomac Patrick. Je t

Maintenant couc

Thomas

eux même pas l’appeler. Ton téléphone est resté dans la piscine donc il

ir. Cet accident avait apparemment laissé des séquelles. Et si je restais seule, j’allais passer mon temps à me ress

ui ne va pas ? Tu ne v

e n’ai pa

nement pas lui par

. Jusqu’à ce que tu t’endormes d’a

a famille. Mais comment avait-il su que j’avais peur ? Patrick était vraiment louche. Il me faisait

el point tu dois être eff

uceur que lorsque qu’il disait Cathy j’

u’est ce qui

ai trébuché. J’ai crié aussi fort que

re une douche rapide avant de venir te rejoindre dehors. Heureusement que je me pressais pour ne pas te laiss

s ? Son attention envers moi était de plus en plus intrigante. Mais ce n’était pas le plus important pour l’instant. Il me permettait d’

vais parler ainsi avec toi. On aurait dit que tu me reproc

mon nom. Sinon il allait sentir comment

Je te sens frissonner dep

t encore

Je ne

: Attends

é qui j’étais ? Que j’allais bientôt appartenir à son frère. Le rap

: P

ck : O

va aller. Tu peux me la

nne de nos familles nous voyait ? Mais j’aimais bizarrement être là, près de lui, dans ses bras. Entendre sa respiration, sentir son odeur envoutante, l’entendre m’appel

serait surtout permis. Alors on resta là, immobiles l’un et l’autre. Savourant cet instant de proximité qui nous était offert. Je me sentais sur une autre planète dans ses bras forts. Je me sentais unique so

avec. Comment c’était lorsqu’il embrassait. Quelle sensation il aurait pu me faire ressentir. J’avais l’intime conviction que ses baisers seraient comme un aller simple pour le septième ciel. Non ! Il fall

it pas. Pourquoi s’amusait-il ainsi ? Je voulais sentir ses lèvres sur les miennes. Ne serait-ce qu’une fois. Une seule fois. Thomas ne serait pas obligé de le savoir. Ce serait notre secret. Juste un baiser. Compte tenu des c

il se rapprocha de ma bouche, hésita une seconde, puis comme s’il c’

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