Le frère de mon fiancé

e de mo

pit

ère pourra certainement rencontrer des personnes influentes pour son affaire qu’il vient de lancer. Yannick, mon frère, vient de trouver le travail grâce à Thomas, mon fu

e m’humilier dans sa famille. Je faisais la vaisselle quand j’allais chez sa mère, je l’aidais à préparer et souvent à faire son marché. Et pourtant, Monsieur avait sa « titulaire ». Connue de toute la famille. Celle avec laquel

ns encore du soulagement de mon père. Maman elle, j’ai du mal à connaitre son sentiment sur ce ma

t hors de question que je ne sois pas parfaite le jour de mon mariage. En plus Thomas est émerveillé par moi. Quand il me regarde on dirait qu’il voit la lumière qui vient du ciel. Et je me sens encore plus belle que je ne

qu’une seule idée en tête : mettre « le chat* » dans leur lit. Et ça j’ai décidé d’en finir et de me caser définitivement avec Thomas qui rodait depuis des années autour de m

me coupa de mes pensées. C’

as manqué cette nuit. Je passe te prendre à 17h00 pour qu’on aille cher

tais attiré, mais parce qu’il s’agissait de mon futur mari. Je voulais lui donner comme une récompense mais aussi jauger la marchandise ; et le résultat n’était pas si mal même si ce n’était pas le summum du plaisir.

ais rapidement rentrer et me préparer

taxi !

itôt à l’écoute du mo

: mettez

uvez pas parler correctement ? Je

des grands endroits comme ça

t de beauté Spectra. Institut personnellement choisi par Th

volante et cintrée à la taille et légèrement au-dessus des genoux, faisait l’affaire. Surtout qu’elle était décolletée. Des atouts de ce côté-là aussi j’en ai. Pour accompagner cette robe, j’ai décidé de mettre une compensée de couleur rose et

e sonna. C’é

tu sors ? Nous s

i :

egard s’est illuminé, tel un affamé devant un morceau

Bonjour

: ça v

pas encore à lui donner de qualific

’as pas répond

ses-moi. J’étai

: Ok. Ça

: oui

robes ? Tu as f

sur ce mariage. Même ce qui ne

mairie doit subir les dern

que c’est Patrick qui venait avec l

de Thomas. Celui que nous a

apporté dernièrement n’était pas déjà

uelqu’un se plaigne de n’avoir

u réfléchis encore sur la per

là hein. Il faut avouer

Tu as raison chéri, ave

t dit que même Cléopâtre n’

ient finalement

a libérer. Mais d’après ce que Pat m’a

d ! Et ta mère qu

t même peut-être mieux parce que j

kié ! Po

un style assez vulgaire et est souvent

e qui est prude là ! Ell

s : Ha

à l’aéroport. L’avion de Patrick devait atterrir dans 15 minutes. Il arrivait de Paris (France) où il venait de terminer un deuxième Master. Ou c’était toujours l’école de quo

’asseoir en atten

st quoi le pro

vas faire connaissance avec Pat. Je suis

que l’atterrissage de

ol est arrivé un peu plus

toutes ses valises, la douane, etc. je m’ennuyais même déjà. Don

: Ah l

s. Mais quand j’ai levé la tête, je vi