Le cas Kleiner
on, je lui demandai si la police malgré ce détail concluait au suic
te dire que je me trouve d
de notre amitié naissante ? C'était possible. Parce qu'il croyait que mon esprit plus délié que le sien aurai
n sur le sujet. Je peux l'alimenter en évoquant les œuvres concernées. Parce qu'au préalable je me suis posé les bonnes questions. Parce que j'ai les connaissances et la méthode pour y répondre. Et tout à
PC au fond de la salle comme ce matin. Et de deviner à l'avance le comportement de mes élèves étouffés dans leur spontanéité en présence de deux étrangers. Ensuite, après vingt minutes, on retrouvait peu à peu
lle avec une autre classe en compagnie de mes observateurs. Après quoi je consacrai la plage H3 à un temps de réflexion avec mes stagiaires
Plutôt que de faire usage de mon téléphone, j'utilisai l'ordinateur que je n'avais pas éteint pour obtenir un vi
dimanche à lundi. Il s'agirait d'une femme entre deux âges qui travaillerait au sein de l'équipe médicale. Le Lieutenant Willmots assisté de cinq de ses ad
n et d'une feuille de papier, je m'étais installé au fond de la pièce pour une analyse du texte en attendant mon assiette de lasagnes.
plat, je parcourais le
mots, donc non conforme
entre eux sont employés au conditio
police municipale n'est pas une
et l'effectif sur place son
ntionne pas la cause de
son travail de rédacteur depuis qu'il était sur les lieux. J'envoyai un co
uditoire, et valoriser les élèves en leur offrant l'opportunité de tester leurs acquis. Mais c'était plus fort que moi. Les auteurs, les textes, les idées que j'abordais en classe me renvoyaient inlassablement à mon cas personnel. Du coup ça n'arrangeait pas la qualité de mes apprentissages. En dernière heure, autrement dit en H7, devant un texte de Flaubert et une critique intelligente
ue, on chercha à se dégager de la cohue habituelle à cette heure de la journée. Après dix minutes on franc
e nouvelles infos sur le deuxième incident à la clinique et à partir de là, me dit-il dans sa voiture, il tenait absol
t on nous indiqua un ascenseur et le numéro d'une porte au deuxième étage. Au cours du trajet de mon lycée jusqu'au commissariat, Simon n'avait fait aucu
nt ! lança le lieutenan
stant et Simon me présenta de la même faç
ai peu de temps. Com
e à terminer, embraya Simon
nt, Simon,
qui en sera l'auteur. J'imagine qu'en nous recevant dans ton
sé votre nom ? me de
eph Cardenne. Je fais des e
la dépêche sur le site hier
a rédigé celle de ce matin
tournure qui ne nous arrangeait pas Simon et moi. Pour légi
orisez-vous à poser
ujours essayer,
imilaires des deux accidents, pourrait-il y avoir u
ple si elle ne s'adresse qu'à
ans mon article de demain
ne piste que nous n'excluons
luie dans un restaurant indien. Simon avait touj
on une fois nos apéritifs servis. Je tiendrai par
nde rien. Comment tu as su
te avant toi en
r les lieux a
j'en re
appelé pou
eck
qu'est deven
ne minute. Il a été écra
ifié, ça s'est déjà produit
le but de ne pas divulguer toute la vérité. Grâce à ses sources obtenues dans la journée, Simon me rapporta que ses relations dans la police locale ignor