Le cas Kleiner
réalité est toujours plus riche et p
iascia, À c
1État d
celui qu
vie d'une infirmière au pied du centre hospitalier. Les premiers éléments recueillis par les enquêteurs nous autorisent à penser que la mort
r avant 6 heures un texte de moins de 75 mots. Aux informations sonores qui avaient giclé à mon réveil dans mon cerveau au ralenti, j'avais répondu par un premier jet sur la table de ma cu
rfois ça occupait deux heures de ma semaine. Parfois rien du tout. Et puis le Journal me proposa d'intégrer l'équipe de leur site web, toujours à titre bénévole. Ma nouvelle tâche n'exigeait plus de déplacement. Depuis que je travaillais pour le site, mon contact se limitait à une personne seulement, Simon, un peu plus âgé que moi et journali
tés de synthèse, et ne changez rien d
mployaient pour que les articles publiés dans le journal soient visibles sept jours sur sept sur la version numérique. En plus de permettre aux lecteurs de suivre la primeur des infos moyennant un abonnement, le site pr
j'énonçai dans ma classe deux heures plus tard fit écho dans ma tête, à ma prem
ittèrent la salle un à un. Seul dans la pièce, je jetai un œil
te dé
oseph. Tu fais b
tenais à me remerc
j'ai besoin d'un avis extérieur. O
nouveau su
ure qui t'arrange. À l
racc
essayé de lui soutirer quelques renseignements. En réponse, son attitude avait épousé sa double personnalité : Simon se savait journaliste mais aussi détenteur
gêne, une de mes collègues m'interrogea du regard avant de s'étendre sur une description du mal du bras. De ses articulations aux niveaux inflammato
lait Geneviève. Âgée de cinquante-deux ans, elle avait cherché à franchir la barrière de sécurité sur les terrasses de l'hôpital. Avant de sauter dans le vide pou
mon appartement où je vis depuis trois ans. On s'était trouvés à la faveur d'une annonce sur Internet. On avait fait connaissance et on s'était choisis. Moi, parce que j'étais un r
l'idée de recevoir gratuitement le quotidien le plus vendu de la région. Au motif
confirma ce que j'avais appris à la cantine. Me renseignant un peu mieux sur la victime : née à Dunkerque, sans enfant, co
avelle ? » M
eçu sur mon portable c
un feu rouge, tandis que je traversais la chaussée, le conducteur d'une voiture me défia du
supplémentaire à ceux relatés sur le site. Ce que Simon voulait c'était juste un avis, un regard extérieur. Après une dépêche qu'il m'avait commandée le matin même, c'était la première fois que Simon
sis à une table près de la cheminée. Je me servis au comptoir, et je m'installa
première reconstitution des événements dirigée par le lieutenant Willmots missionné par le Commissariat cen
e voir parce que je
tions ou u
Et aujourd'hui j'ai pas l'
atrice que la tienne. Peux-tu en venir à l
s'agit d'un suici
que tu dis
ens pas. J'espère ne pas regre
le matin, il n'aurait pas pu faire un haut fonctionnaire de la police, redouté et influent, ce à quoi il m'avait répondu sur le même ton que son cas pouvait se rapporter au mien, compte tenu de ma situation professionnelle
escaliers en pleine nuit jusqu'au toit de la clinique où elle travaille depuis dix ans. Elle enj
i d'un sig
ne colle pas
ue je sais, qu'est-ce
poser, Joseph, c'est le moti
nt être multiples.
Au
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dit, Joseph. Willmots l
ureau ? La victime était-elle la seule du personnel à vouloir s'isoler un moment sur l
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utôt ce qui
avoir évalué l'intervalle qui
ique peut avoir envie de profiter illégalement du panora
te évide
me avec des envies de se supprimer sur le toit de son lieu de travail en
décoloré qui ne devait pas donner moins d'éclat par rapport à sa teinte d'origine. Et puis, en contrepoint de la situation visuelle devant moi, la musique jusque-là