Notre chambre froide
ttant la scène que l'on peu
Lec St
*
quand tu m'aimais, léger comme une étreinte lorsqu'elle fait mal, comme ta présence lorsque tu étais là, léger comme tout mon corps l'était en marchant à tes côtés. Je te voyais comme un cadeau qui n'avait pas de prix, un cadeau qui me pesait lourd
siste. Ma vie est de l'autre côté maintenant, dans ton a
don telle une victoire dans l'affranchissement de nos péché
es et d'effroi. Des jours pas comme les autres. J'ai essayé de tout changer, j'
é quelques
t'oublier, mais rien ne s'est produit comme je le souhai
*
anquilles, je
t renaître, o
nos rythmes
ts secondaires, pharmace
re chambre, menso
*
, c'est comme si j'avais tout repris à zé
ne sont plus qu'une chambre froide négative à moins de quarante degrés Celsius qui n'arriv
is plus de ton corps désiré. Entre plaisir et déplaisir, j'essaye de m'apaiser, j'e
'énergie des mots comment pénétrer secrètement, docilement ton âme, sans a
*
ton
tu a
at u
mie
.
*
ns tous les livres que j'ai pu li
es prometteurs, tels que : la rencontre, la passion, l'espoir, la rupture, la chute... C'est écrit comme des tableaux en expos dans
tre nous deux, juste un début et une fin. Je croyais qu'aimer quelqu'un, ça voulait dire tout par
les faces devenues sombres et vides de mon imagination. Dans mes insomnies, je reconnais ces heures secrètes et noires, où on espère qu'au réveille, qu'une
-deux, incapable à me résoudre
s terres. Je suis en manque, de toi. Pire qu'un drogué. Et comment ça se domine le manque ? C
ils insignifiants, une musique, un endroit, un par
it, mais toujours tu reviens, tel un
*
de, c'était sûrement
e seul. Comment et pourquoi pouvais-tu rompre sur cette simple excuse ? S
uple nous avons perdu notre trace. Comprendre ce qui s'est passé, cassé. J'aimerais faire ressurgir le passé, le
s qui me pousse à dire ce qui ne se di