MA MÈRE : MA DESTRUCTION

ns la vie et rendre ma mère Mari

it où on réussit toujours dans la vie. Une ville miracu

it au village, c'était une grande fête qui l'attendait. Elle apportait

on âge. Titulaire d'un bepc, je n'ai pas pû poursuivre mes études supérieures au collèg

aux champêtre et d'autres fois, j'exerce quelques jobs pour po

devenir instituteur comme les jeunes les plus intelligents de mon village, ni da

aine attirait mon attention et c'

qu'il était un grand homme à respecter et un exemple à suivr

u la sœur aînée à ma mère puisait toute sa richesse. Toute ma famille et le village avait de l'admiration pour elle quand elle venait. En plus, elle était très noble dans ses attitudes, dans son r

s de leur proches de la ville pourtant il voulait juste

et avait beaucoup

sa bestie depuis leur tendre enfance. Lorsque que tout le monde s'en allait après avoir eu un mor

voix très basse. On aurait dit qu'un terrible secret les unissait. Certes el

rrivait au village et elle me traitait comme un prince au détriment de ses frères

fication de ce sobriquet donc elle était la seule à l'employer. Mais ce petit nom avait le don de laisser ma mère indifférente. De plus, personne n'avait le droit

je savais qu'elle ne me laisserait jamais partir pour rien au monde. Je ne savais pas d'où venai

aconte. Mais soyez en sûr je n'avais jamais entendu parler de lui et

aison qui se trouvait à côté du goudron. C'était une grande maison tôlée avec des murs fait

bité et l'autre côté était loué à un vi

'ouvrait sur l'extérieur et qui avait besoin pour y accéder, que l'on contourne tout le

Et même, je croyais percevoir que tout le monde l

ais aussi mes oncles, tantes, cousins et cousines qui étaient mes pères, mères, frères e

s premiers instants de mon existence, des questions me traversaient l'esprit plus tard dans ma conscience.... Mais bo

it garçon attentionné et plein d'ambition, j'étais éga

plaisir que l'on peut ressentir q

u plaisir car le plaisir que je r

quoi ce p

ENF

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