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MA MÈRE : MA DESTRUCTION

MA MÈRE : MA DESTRUCTION

Alexandre Stephane

5.0
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5
Chapitres

accordé de l'amour maternel à un enfant est certes la meilleure des choses à faire. Mais intervenir dans la relation amoureuse de son enfant est une erreur à ne jamais commettre... Malheureusement Marie la maman de Wilson n'a pas compris cela et à fini par ôter la vie de son à cause d'une guerre tribale

Chapitre 1 Chapitre 1

J'étais venu à Douala réussir dans la vie et rendre ma mère Marie heureuse et très fière de moi...

Douala, une ville qui m'avait été décrit comme un endroit où on réussit toujours dans la vie. Une ville miraculeuse ou le bien être est stable et la vie est paisible.

D'ailleurs je connaissais une tante qui y vivait et lorsqu'elle arrivait au village, c'était une grande fête qui l'attendait. Elle apportait avec elle des plastiques de poisson frit et plein d'autres provisions..

En passant, je suis Wilson Patrick. Un jeune garçon qui rêve comme tous les autres de son âge. Titulaire d'un bepc, je n'ai pas pû poursuivre mes études supérieures au collège Martin Luther King de Bafoussam qui est mon village natal à cause de moyen financier.

Pendant mes moments libres j'aide ma maman Marie dans les travaux champêtre et d'autres fois, j'exerce quelques jobs pour pouvoir subvenir à mes besoins quotidiens et à ceux de ma maman.

Je n'ai jamais voulu exercer dans la fonction publique. Je ne voyais pas non plus devenir instituteur comme les jeunes les plus intelligents de mon village, ni dans n'importe quel domaine où les gens se sentent supérieur au dessus des autres.

Mais parmi tous celà, un seul domaine attirait mon attention et c'était de devenir un grand douanier.

Le cousin de l'un de mes amis en était un et celà se voyait qu'il était un grand homme à respecter et un exemple à suivre. Bref une légende qui écrivait l'histoire de mon village...

Et pour réaliser ce rêve, il me fallait à tout prix rejoindre la ville de Douala. On m'avait dit que c'est une ville où l'argent coule comme de l'eau sous les ponts. C'est sans doute d'ailleurs, ou la sœur aînée à ma mère puisait toute sa richesse. Toute ma famille et le village avait de l'admiration pour elle quand elle venait. En plus, elle était très noble dans ses attitudes, dans son regard, grande de taille, belle comme le coucher du soleil sur l'océan Atlantique, elle faisait courir tout le village à son arrivée. Et la seule question que je me posais était : pourquoi pas moi??

Tout le village faisait semblant de prendre des nouvelles de leur proches de la ville pourtant il voulait juste fixer les nombreuses provisions qu'elle avait apportées.

Elle était riche et avait beaucoup de bien à Douala.

Mais ma maman semblait indifférente face à tous ces paquets. Tout le moment savait qu'elle était sa bestie depuis leur tendre enfance. Lorsque que tout le monde s'en allait après avoir eu un morceau de pain de la voyageuse, les deux sœurs commencèrent à converser mais en langue vernaculaire.

Mais ce qui me laissait indifférent était que les deux causaient toujours à voix très basse. On aurait dit qu'un terrible secret les unissait. Certes elle était la meilleure amie de ma maman mais rien n'explique une telle entente.

Quand j'étais tout petit je me réfugiais directement dans ses jambes lorsqu'elle arrivait au village et elle me traitait comme un prince au détriment de ses frères de sang... j'étais son petit préféré et cela pour des raisons strictement inconnues.

Elle avait toujours un petit cadeau pour moi. D'ailleurs elle était la seule qui m'avait donné un petit nom " Pô si". Je n'avais jamais songé à connaître la signification de ce sobriquet donc elle était la seule à l'employer. Mais ce petit nom avait le don de laisser ma mère indifférente. De plus, personne n'avait le droit de me corriger quand ma tante de Douala était là. Mais toute cette attention ne m'empêchait pas de toujours regarder dans son sac de provision comme les autres.

Je rêvais toujours de Douala en sachant que je n'irai probablement jamais à cause de ma mère dont je savais qu'elle ne me laisserait jamais partir pour rien au monde. Je ne savais pas d'où venait cet orgueilleux sentiment que ma mère avait pour moi. Mais d'une part je me sentais responsable.

Vous vous demandez certainement où est mon père dans tout ce que je raconte. Mais soyez en sûr je n'avais jamais entendu parler de lui et une chose est sûre ma mère jouait très bien le rôle des deux parents.

Mais à côté d'elle, il y avait mon oncle Maurice. Celui-ci avait construit une très grande maison qui se trouvait à côté du goudron. C'était une grande maison tôlée avec des murs fait en brique et qui différencie les autres maisons du village toutes construites en terre cuite.

Un côté de cette grande maison était habité et l'autre côté était loué à un vieux papa qui avait fait de celà un bar.

À l'arrière, il avait réalisé un petit appartement, un petit studio avec une porte qui s'ouvrait sur l'extérieur et qui avait besoin pour y accéder, que l'on contourne tout le bâtiment. Et c'est dans ce petit espace que je vivais avec ma mère. Jusqu'à l'âge adulte.

Je ne me rappelle jamais avoir vu ma mère sourire. Et même, je croyais percevoir que tout le monde la redoutait, y compris son frère aîné papa Maurice.

Ma mère, maman Marie n'avait que moi , et je ne voyais que par elle. Oui bien sûr , j'avais aussi mes oncles, tantes, cousins et cousines qui étaient mes pères, mères, frères et sœurs. Mais je vivais dans le petit studio de ma mère, situé à l'arrière et très isolé.

Je ne me souvenais pas de la de la figure d'un homme associé à celle de ma mère. Si cela m'avait paru naturel dans les premiers instants de mon existence, des questions me traversaient l'esprit plus tard dans ma conscience.... Mais bon je n'avais pas le droit de demander quoi que ce soit, du moins je n'avais pas le droit de le demander ouvertement.

Vous n'en croirez pas vos oreilles. Mais hormis le petit garçon attentionné et plein d'ambition, j'étais également un petit garçon avec un côté également bad boy.

Oui !!!!! Je connaissais déjà le plaisir que l'on peut ressentir quand on va au lit avec une femme.

Et cela ne s'arrêtait pas juste au plaisir car le plaisir que je ressentais avait porté ses fruits.

Et c'était quoi ce plaisir ???

UN ENFANT.

À SUIVRE...............

Continuer

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