Les caprices du destin I
vait envers cette petite. Lui qui n'avait jamais de rapports particuliers avec le personnel. Jamais. Il a toujours veillé à toujours gardé une distance avec ces femmes.
l se glissa sous la couette. Elle avait bien changé depuis la naissance de leur fille. Mais il l'aimait et
oucher...commença t'elle alors q
geste et poussa
e suis to
'en fi
sans s'en rendre compte, l'image d'Assy se cac
l prenait la peine de lui parler, elle avait toujours cette impression bizarre. Cette sensation qu'elle ne pouvait expliquer. Oui, il l'impressionnait. Il était très attaché à sa fille et toute les conversations qu'il avait eu avec elle jusque là la conc
remettrait de l'argent. Elle voulait donner à sa mère pour qu'elle puisse passer sa radio. Heureusement qu'elle travaillait. Elle était prête depui
de riposter en disant que tu l'énervais. Même s
Ma mère est souffrante et
ns aucune pitié p
temps. Il ne peut pas te donner l'argent
lle ne parle que de ce type qui apparemment n'est même pas capable de lui offrir du crédit
ait, il me donnerait tout ce qu'il a. Ma
ve Assy. Tu n'as vrai
uriant. Attend que je rentre
mment pour les médic
5000 à m'avancer ? Je te rembo
ns. Elles se sont tues toutes les deux, intimidées par sa présence. Tonton Ibrahima forçait
re et glissa dans ses mains une liasse de billet de banque. Avant qu'elle ne puisse réagir, il était déjà parti. Elle est restée sur place des minutes à regarder la voiture s'éloigner. Il y avait 40 000 ; exactement sa paie. Tient peut être que finalement tata
se de retrouver sa maman. Il faisait tard et le ch
savais comme je suis s
ection, de chaleur humaine. Elle s'en voulait tellement de
? demanda t'elle soudain
là, le cherchait dans tout le quartier avant de le ramener en le tirant par le col ; après il s'en suivait toujours une petite séance de bastonnade, ou la pauvre s'en sortait parfois tellem
as vraiment de bonne compagnie. Je n'aim
sse trainer comme ça. Com
ller le chercher. Elle était trop fatiguée. D'ailleurs, alors que sa mère lui racontait sa semaine, elle avait déjà
er, son vice a vite été mis à nu. Maman Saly a alors fait le tour des marabouts pour l'aider à se séparer des salles de jeux. Sans succès. Au bout de quelques années, non seulement, il s'est retrouvé sans le sou, mais en plus, il devait beaucoup d'argents à ses fournisseurs et autres collègues de jeux car il mettait tout en jeux. Quand les dettes ont commencé à l'assaillir, sans aucune considération pour sa famille, il a décidé de quitter le pays. Sans prévenir personne. Même pas sa propre femme qui du jour au lendemain s'est retrouvé envahi par une kyrielle de créanciers qui venait lui réclamer de l'argent. Elle a vendu ses bijoux, ses habits, les meubles tout de qu'elle avait de valeur po