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Les caprices du destin I

Les caprices du destin I

Auteur: DIOULDE
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Chapitre 1 Chapitre 01

Nombre de mots : 2216    |    Mis à jour : 24/06/2022

sy

a été vraiment laborieuse. Très. Plus que d'habitude. Elle n'avait même pas eu le temps de revoir ses cours et de se préparer pour l'évaluation qu'elle devait avoir

e. Elle avait échoué l'année précédente malgré tous les efforts qu'elle avait consentie. Manque de chance comme l'on dit pour la plupart de ses connaissances. Mais malgré tout, cet échec a été terrible pour elle car elle s'était donné corps et âme pour ce diplôme. Surtout qu'elle n'ava

re en charge. Elle avait donc décidé cette année de se chercher du travail et de s'inscrire à des cours du soir dans une école privée et de passer à nouveau le BAC.

t des journées très éprouvantes pour elle et elle les passait à lui courir après, et à essayer de la calmer. C'était éprouvant. Et en plus elle devait aussi lui faire son linge et de temps en temps, quelques menus autres travaux de la maison, qui était assez grande. C'était Fatou qui s'occupait de la cuisine, mais elle était tellement fainéante qu'elle se déchargeait toujours sur elle. Même si s'occuper de Sophie était laborieux, elle avait beaucoup d'affection pour cette petite et cé

èges qu'il fallait éviter, elle savait que de toute façon, elle n'avait pas bien travaillé. Non, elle avait juste envie de se reposer. Heureusement que demain, c'était samedi. Elle pourra rentre

o, ma

de tes nouvelles toute la

a sou

phie était très agitée. Je m'endormais

a ma f

t'entends mal. Dès que je

relation était trop compliquée ces temps ci et elle n'avait pas trop le cœur à parler avec lui. Plus tard peut être. Elle a donc préféré l

is à ta mère qu'au lieu de rentrer directement de

e sont les emb

ches sales. Si tu n'es pas capable de bien t'occuper d'elle, il faut me le dire que je cherche une autre. Je commence à e

gé sa couche et je lui ai don

le. Et puis tu te ta

nné un bain, changé sa couche et ses habits avant de lui servir un gouter avant de partir, le laissant à Fatou, qui devait attendre le r

tu t'occupe d'elle. Si ce n'était pas ta

arrête

e, plus pondéré et surtout semblait se rendre compte de tous les e

e de rester aussi longtemps et pourtant tout le temps tu es

contredite. Surtout devant les employés

concerne pas. Arrête de toujours prendre sa défense en me faisan

pour Sophie...tous les jours, tu

on rayon de soleil. Oui, malgré son handicap, elle adorait cet enfant. Elle avait hérité des beaux traits maures de son pèr

...cria

e des couches car n'étant pas capable de s'exprimer quand elle voulait faire ses besoins. Mais de plus en plus, quand elle était à la maison, elle la laissé sans couche pour lui apprendre à devenir propre. Mais sa maman n'appréciait p

toilettes si tu as envie de le faire. Et puis regarde comment tu as sali ta belle rob

ncieusement, souriant même parfois comme si elle comprenait ses états d'âme. Elle l'a changé et elles sont sorties pour aller diner quand elle a encore entendu des éclats de voix du couple Aidara d

et lui a lancé un regard incendiaire. Elle a alors baissé la tête, rêvant juste d'avoir des pouvoirs qui lui permettrait de disparaitre dans ce genre de situation embarrassante. N'eut été sa mère et l'amour qu'elle portait à cette pauvre petite, elle aurait laissé tombé ce travail depuis belle lurette. Ça faisait bi

es deux étudiants à l'université et c'était Dina qui s'occupait de chauffer le diner et de servir. Tata Nafi et son mar

al, mais le médecin lui avait prescrit une radio à faire. Elle se demandait vraiment ou elle allait trouver cet argent. Surtout qu'elle a du dépenser le peu qu'elle avait gardé pour réparer so

é toute la soirée de t'

souffle. Elle ne voulait pas réveiller Sophie, n

r, surtout qu'il était soutien de famille et la grande famille à Podor attendait tous les mois l'envoi de son argent pour vivre. Mais il avait tellement d'ambition pour elle. Il voulait faire d'elle sa femme, la mère de ses enfants. Mais sa jalousie maladive était en train d'avoir raison de la belle relation qu'il était en train de construire. Et il y avait de quoi. Assy grandissait. Sa beauté s'affirmait, ses traits se distinguaient, ses belles formes ne passaient plus inaperçues, mais heureusement qu'elle ne s'en rendait pas vraiment compte. Non Assy était tellement timide qu'elle ne relevait pas la tête quand elle mar

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