Womb-to-Tomb
971, Fra
visite de ma grande sœur. Elle revenait de Londres où elle avait
de fête chez un des meilleurs restaurateurs de la ville et du Lafon Rochet de 1945*. Tout cela m'avait coûté une pet
péripéties d'Eve, ma sœur, en Angleterre en
commande. J'étais donc descendu pour aller récupérer la nourriture. Environ cinq
é ne jamais avoir eu à ass
tournoyer le contenu. Je l'interrogeais mais elle ne répondait pas. Je me rendis alors dans la salle à manger où j'avais laissé Eve, quelques minutes pl
ie, bon sang, que
cement et me répondi
rvi un cocktail fait maison, mais je crois
e, non
ix secondes pour la sauver a
'ai pas le te
je te donne l'antidote.
'impression que l'inquiétude et la rag
ise, ch
No
de bougie, can
it des effor
dieu, elle
e poids de sa tête retomber entièrement sur ces dernières. Ce fut le seul cadea
ups
la tête entre mes mains, le
Marie... Ma
rois que je n'ai pas vu comment tu l'avais en
c'était
ta mère j'aurai agi
us nous regardions droit dans les yeux. Puis,
us. Marie, je... Je
en-sûr que si. Tu ne
se et me dirigeai vers la sortie avant qu'elle ne m'
ça. Tu ne peux pas m'abandonn
e côté intérieur de mon poignet gauche. Elle me poussa ensuite contre un mur. Sans réfléchir, me sentant complètement abattu, je me laissais glisser le long de celui-ci, finissant par m'asseoir au sol. Elle vint prendre place
ers, love's jus
hers, love's
hers, love's
love's womb-t
sa voix mêlé à celui des gouttes de notr
de ma sœur n'était pl
>>
'une des meilleures pour cette région puisqu'elle réfère à l'un des apogées du bon g
nson en
s autres, l'amour n'e
les autres, l'amour
les autres, l'amo
'amour est de la n