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Rivalité

Chapitre 5 Chapitre 5

Nombre de mots : 2139    |    Mis à jour : 26/03/2022

je suis sortie du lit. Trouver Beya dans la cour en train de balayer ne m'a pas enchanté mais c'est une nouvelle mariée, elle veut se faire de la place dans le cœur de son mari ou peut-être même d

il que je sais faire. S'il te plaît. Moi : Ehh... je ne crois pas... Beya (mains en position de prière) : S'il te plaît Moi : D'accord, ok, mais avant, il faut que tu sortes de cette chambre. S'il rentre et qu'il n'y a rien à manger, ça sera difficile de le convaincre. Beya (heureuse) : Merci, merci beaucoup. Moi : Aller, sort maintenant. Parler directement à notre mari des choses de ma coépouse dès son entrée surtout que ce n'est même pas mon tour, ça sera très déplacé et pourtant il le faut. J'ai promis de l'aider à reprendre son travail Pendant qu'on faisait la cuisine, j'ai demande à Beya d'aborder le sujet avec lui quand on sera à table. Comme ça je pourrais intervenir, notre mari ne se rendra pas compte qu'on a eu cette conversation. Le lien commence à se tisser entre nous, ce fut notre première alliance contre notre époux. C'est devant le dîner que Beya à aborder le sujet. Notre mari dit que c'est non et c'est là que j'ai demandé à parler si possible. Déjà qu'on est seulement trois adultes dans la maison et que moi je suis là à ne rien faire, il peut laisser Beya continuer son travail. Ça apporte plus si on travaille tous, moi-même je vais aussi reprendre mes stages. Avec la chance, mon rêve va se réaliser. Djadjé : En seulement quelques jours de vie commune et vous formez déjà une coalition contre moi ? Moi : Non, pas du tout mais tu sais très bien que c'est la vérité. Si on est appelé à vivre ensemble, il faut que chacun de nous fasse quelque chose. Djadjé : Parce que j'ai dit dis que je ne peux pas vous prendre en charge ? Moi : Il ne s'agit pas de ça, c'est juste que trop de viande ne gâte pas la sauce. Si je t'ai offensé, je te prie de m'excuser. Djadjé : D'accord, c'est bon, vous avez gagné. Que chacune fasse ce qu'elle veut mais ce qui doit être fait ici à la maison doit être fait. Je ne reviens plus là-dessus. Baye : Merci. On a fini le dîner dans le silence, chacun avec ce qu'il a sur le cœur. J'ai vite rejoins ma chambre pour y passer la nuit toute seule. Je n'ai pas entendu le son de la télé tard la nuit, le couple a sûrement rejoint leur chambre un peu après le dîner. En toute sincérité, je n'avais pas prévu de reprendre les stages. Parler du travail de Beya m'a poussé à prendre un engagement et validé par mon mari. Je dois désormais honorer cet engagement et reprendre avec mes stages. Après tout, quelque chose de positif est sortie de tout ça. Le lendemain matin, Beya m'a encore remercié avant de me dire que tonton n'a plus rien dit la nuit, elle est prête pour reprendre son travail. On s'est souhaité une bonne journée, notre mari est sorti à son tour. Je suis comme revenue à la case départ, je suis toute seule à la maison. C'est le tour de Beya, je n'ai pas grande chose à faire, j'appelle Betty pour voir sa position. Betty : « Enfin tu te rappelles que tu as une copine ? » Moi (en souriant) : Excuse-moi, je n'avais vraiment pas la tête sur les épaules. Betty : « Et elle était où cette tête ? Ne me dis pas que la petite l'a déjà coupée. » Moi : Non mais comprend-moi et toi aussi, depuis le fameux mariage tu n'es plus revenue me voir. Betty : « Qui ? Moi ? Non, non, faut pas je vais me faire dévorer de regard une fois chez toi. Que sa copine est collante comme mouches sur... Tu sais non ? Alors plus sérieusement, comment tu vas ? Comment ça se passe avec Beya ? » Moi : Plus ou moins bien. Les premiers jours ont été difficiles, très difficiles même mais aujourd'hui je peux dire Dieu merci. Je vois Beya comme une petite innocent

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