La disparue de l'Aber Wrac'h
ble et obscur rejaillira mais ne le renie pas, affronte-le. Fonce, va de l'avant, mais surveille tes arrières, prends des chemins de trave
a lettre posthume de nounou Soizic. Ils passaient l'après-
it pu s'appeler Prune, si elle avait été brune, mais elle était rousse... Elle était institutrice à Bormes Les Mimosas, célibataire, voire célibattante. Elle savourait joyeusement son célibat, mais en fait, elle recherchait d
ncore des mots toujours d
x des rencontres éphémères avec des hommes fades, insipides et
l'obsolescence programmée s'app
de vilains crapauds que de princes charmants. Elle avait
: cet amant particulièrement doué qui, la nuit, la faisait grimper aux rideaux, disponible uniquement la nuit, seulement deux nuits par semaine, était-il un vampire qui redoutait
eau... Encore des mots toujours des mots les mêmes mots rien que de
, elle était donc
vait du succès, tant auprès de sa maison d'édition, qu'auprès de to
fficiles. » Cette belle déclaration d'amour pour les femmes magnifiquement interprétée par Julien Clerc, célébrant les femmes, leur
e seul, tranquille pour écrire ses livres, en fait il vivait sa vie à travers ses romans. Par procur
vitablement envoutées par ce type mystérieux. Il les attirait comme du miel, sans le vouloir vraiment, comme un aimant. Son humour, son charme, son intelligence et son mystère jouaient un grand rôle dans
jouer, il
fait plus branché dit comme ça. Son imagination débordante, sa créativité sans limites, ajoutées à
us se dirigeant vers la station spatiale ISS. Il était vraiment perché ! Le geek de la bande était plus passionné par les monstres qu'il créait, que par la gente féminin
mour, l'amour, c'est quand je t'aime, l'amour c'est quand tu m'aime
ient. Elle n'arrivait pas à distinguer clairement les deux. Elle ne
de la nounou que le notaire lui avait envoyée par
té de la maison de Soizic, des meubles, et d'une petite somme d'argent. Elle se rendrait prochainement dans le Finistère
que c'était réciproque, mais de là à imaginer que la vieille dame lui léguerait sa maison et tous ses biens. Elle savait cepend
et ils l'accompagneraient en Bretagne. Un retour a
pentues qui menaient du port à la citadelle. Les maisons aux teintes pastel et terracotta, les bougainvilliers flamboyants qui envahissaient les vieux murs, le chant bruyant mais t
vivant permanent : admirer les luxueux yachts, passer et repasser devant le
ands scénaristes. Sur le port, telle une arène, se jouait tous les soirs à guic
a mer, nous ramenait cinquante ans plus tôt, quand ce petit port, inondé de lumière, n'avait pas encore été adopté par t
luxe, chic, a
s Mini Moke, la mini star qui ne se prenait pas au sérieux. Mais tout le gratin et la jet set se l'arrachaient. Quoi d
fois cachées dans les jardins des magnifiques bastides, des petits hôtels particuliers, où se pressaient des clientes si particulières. Dior, Chanel, Louis Vuitton ou H
ise et corail, chaussées de sandales K Jacques ou de spartiates Rondini, des tenues ensoleillées pour des clientes moins fortunée
interdits, parce ce que sous le soleil de Saint-Tropez et le lon
ans les mythiques fêtes blanches dans les luxueuses villas, de l'Octopussy posée sur l'eau, aux immenses maisons d'inspiration californienne qui dominent le rivage paradisiaq
clubbers ivres et hagards qui déambulent dans le labyrinthe des ruelles sombres, qui dessoûlent sur les rochers de la Ponche. Nuit
e faire la fête, de se lâcher. Ils se lâchèrent, s
filles sont belles à Saint-Tropez, au rendez-vous d'amour de Saint-Tropez, on court dans le vent
t-Tropez, ça change tous les jours à Saint-Tropez, pour un seul de
losophie de la célèbre chanson des année
le est sauvage, la nuit