AMOUR BRISÉ

qu'il m'en dise autant en un jour. J'étais très content qu'il ait pu s'ouvrir à moi et me révéler des moments clé de sa vie sans que je lui aie demandé. J'ai pu avoir à quel point il

l savait déjà que la vie de star n'était pas si glorieuse que cela derrière les projecteurs. Je

l ne me manquait pas de considération sinon il ne m'aurait jamais révélé autant d'aspect de sa personnalité et de sa vie mais aussi et surtout que j'étai

'espérais qu'on avait passé un cap. Mais à peine le lendemain je ressentis le retour du Nabil distant et

est juste magnifique. J'ai beau y avoir grandi je ne me lassais jamais de ce spectacle. Le soleil réchauffait non seulement notre peau qui frissonna

un truc pour sa mère. Parfois j'en arrivais à me demander s'il ne me fuyait pas mais je devais rester positive. Surtout que quand il annulait un de nos rendez-vous il se montrait très attentionné les jours suivants comme

ré on a profité du soleil pour marcher longtemps sur la promenade des anglais. J'ai arpenté cette promenade des centaines de fois mais cette fois là c'était d

é. J'étais bien plus gênée que lui mais heureusement il savait changer de sujet pour éviter les situations embarrassantes. On finit

quelle origine ?

commençai même à me demander s'il avait entendu ma question. Il finit pa

de quelle orig

ez Nabil j'aurais su qu'il était contr

.. je suis... française

je suis pas

as bien des o

nfonçai dans ma bêtis

origines tu sous entends que je peux pas être français comme toi, et donc forcément tu me stigmatises. Tu sais je serai pas étonné que tu aies quelques origines mais on t'a formaté dans le sens où les blancs sont l

xénophobe qu'impliquait ma question. En plus il avait totalement raison. Plus tard je découvris que mo

e case bien précise. On est tellement fiers de nos origines qu'on finit toujours par le révéler d'une manière ou d'une autre mais tu as été trop pressée pour attendre ce moment. C'est la faute de la société,

ains dans les poches, le regard fixé au loin dans l'immensité de la mer comme pour ch

ma mère Awa est d'origine sénégalaise. Mes deuxième et troisième prénom sont les prénoms de leur

Il venait encore une fois de me dévoiler une bonne partie de sa vi

oir partagé

s il faut qu'on parte le s

u'à ce que le mien arrive avant de partir. Encore une fois je

i sa punition donc on communiquait beaucoup plus et l'

ès loin de mes standards et surtout des attentes de mes parents. Aussi ce soir là en rentrant des cours je les trouvais tous les deux dans le salon, la mine

a mon père avec un regard en

es questions quand on lui dit ça. J'étais en effet désorientée, je me demandai ce que j'avais bien pu faire pour voir ce visage de mes parents que je n'avais jamais vu

demanda ma mère en agitant

ir qu'il s'agissait d'un papier du lycée et vu la

lus que dormir en cours lança ma mèr

mais mon père ne m'en

ONVOQUES PAR TON PROF PRINCIPAL LA SEMAINE P

is peur et ne savais que faire. Mais dans les moments les plus confus i

ste un passage à vide, je vais

aurait pu me frapper s'il ne se contenait pas ma

je vous promets de bosser c'est juste q

CE QU'IL TE FAUT QU'EST CE QUI PEUT ÊTRE COMP

is amou

S BIEN M'ÉCOUTER : PLUS DE TÉLÉPHONE JUSQU

is P

ta chambre to

t étrange m'a habité : je détestais mon père, moi q

uvais même pas partager ma douleur avec mon amie. La vie est injuste ! je commençai à comprendre les ados qui fuguait de leur domicile, ceux qui commettaient des bêtises. Je n'avais pas

e... mais malheureusement pour moi mon amie est arrivée très en retard et je n'ai pu la voir qu'à la réc

numéro de Nabil ?

pour

ais que c'est elle qui me trouverait une solution. Je la remerciai et composai le numé

endant la pause déjeuner j'ai un énorme problème lui dis

ellement, il avai

ns la merde et tu t'en fous ?! si j

ée. Mais ce jour là je n'avais que le chantage affectif pour arriver à

contenta-t-il de dir

éléphone. Elle me regardait comme si

is fait pareil ! alle

pas envie que tu fasses une bêt

is dépassé les bornes mais peu m'importait en ce moment l

ie. J'aperçus derrière le grillage à l'autre coté de la rue un garçon svelte, jean noir, chemise blanche et baskets blanches avec son sac à dos. Il était venu. Il s'était déplacé jusqu'à m

i dis-je en arri

se passe ? il

S'inquiétait-il pour moi ? je voulais y croire. Je lui racontai entièrement ce qui s'était passé et le fait que je ne

ontacte après ton BAC, se

it trop long et lui ne semblait même atte

'EMMERDERAIT DE COMPATIR UNE FOIS DANS TA VIE POUR MOI ? J'AI ATTEINT LES LIMITES DE MA PATIENCE MAINTENANT ! AU FINAL TU ES PEUT ÊTRE COMME