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Le pardon et la grâce

Chapitre 4 No.4

Nombre de mots : 1585    |    Mis à jour : 22/02/2022

erre. Carmen, qui avait l’habitude de ces couchers de soleil ne se lassait jamais de les regarder, car elle les aimait tant ces fins d’après-midi qui donnait à ce pay

mère. Juanita avait refermé la porte d’entrée très l

e vais te montrer où tu

nne. Arrivée au premier étage, une fenêtre qui donnait un peu de

es piétiner. Deux portes s’ouvraient au premier étage. La jeune fille a à peine eu le temps d’

s là, Lolita, t

je suis toujour

dans la chambre au fond du couloir du deuxiè

résentait quatre façades délicatement sculptées de motifs losangés. Les portes de la partie supérieure étaient séparées de celle de la partie inférieure par un bandeau étroit orné

ma petite

is touj

rire, et en regardant Lolita elle vit sur ces joues des larmes qui coulaient. Doña Julia se blessa dans un

aller voir tes parents, ici tu n’es pas en prison, la seul

a future patronne

vraiment dorm

dans cette chambr

la Ju

tout de même pas dor

faisait pas peur, elle qui avait toujours dormi sur un matelas rempli de paille, qu’elle partageait avec sa sœur, dans leur petite maison, à une seule pièce, où s’entassait toute la famille. Là elle avait sa chambre, s

-tu d’autres vêtements

me, je n’ai

sines. Tout en descendant les escaliers, Doña Julia lui expliquait le travail qu’elle devait accomplir. Lolita qui était derrière sa patronne la regardait descendre les escali

te plaît ? Je te laisse avec la petite, tu lui montres le travail qu

jeune, arrivait traînant un peu

mais elle est

ntion à ne pas la laisser sans travail ! Je repasserai tout à l’heure pour voir

, tout en regardant Juanita qui avait mis se

? Bien, il va falloir être un peu plus rapide pour rester d

, mad

, mais Juanita, et toujours le

me. Oh pard

tu fais vraiment bohémienne. Je dois avoir une vieille robe, avec une ou deux re

a main de l’enfant en l’entraînant dans cette grande pièce qui lui servait de cuisine. Lolita s’était arrêtée au milieu de la

trois tiroirs. Il y avait aussi dans cette pièce en plein milieu une grande table en bois, celle-ci était recouverte de légumes et d’épluchures, cela disait que Juanita était en plein travail quand sa patronne l’avait appelée. On pouvait apercevoir aussi quelques bouteilles de vin, ainsi qu’une cruche à eau en terre cuite,

regarder la table avec ses deux bancs, la cheminée, les armoires, ce grand lustre en fer forgé et ces grand

nt faut-il t’appeler, D

e on m’appelle Lolita, alors

tu le sais déjà, tu es cont

a leva les yeux vers le plafon

ussi c’est surtout plus sombre, on ne v

e qui glissait tout doucement, elle s’approcha d’

u sais les patrons sont très gentils, ils ne veulent qu’une seule chose que le

cs, devant un tas de pommes de terre, ainsi que d’autr

ça, éplucher les

mère me

que tu sais faire. Je pense que toutes

le qui brillaient les unes plus que les autres, toute cette gentillesse chez Juanita, elle se

senta deux jours après pour savoir si sa fille Lo

up de gentillesse en la félicita

on pas d’avoir laissé sa fille, mais que sa fi

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