Mon Roi

ec Adélie. Mais ils ne s'étaient donné aucun baisé depuis. Si bien qu'Adélie commençait à douter de sa place à la coure. Quan

tave avait déboursé un budget colossal rien que pour la décoration, le logement des jeunes filles, le repas, les m

it veillé à ce qu'elle soit la plus belle ce soir. Il avait choisi pour l'étoffe, de la soie ivoire délicatement r

sentait pas digne de porter une telle tenue et elle ignorait si cela

ient à la lumière du soleil couchant. Le bal ne tarderait pas à commencer et alors que les centai

Elle aurait tellement aimé que ce soit Flore qui l'aide. Elle laissa ses boucles blondes cas

le collier autour du cou pendant qu

ie resta quelques instants songeuse, où était passé la

ire pour elle. Lui portait un de ses costumes de bal rien d'extravagant mais

aire sonner les cloches et d'ouvrir le

la pièce. Certaines étaient subjuguée par les fleurs, d'autre par le buffet quand un petit groupe d'

ques filles, les plus courageuses, se mirent à danser ensemble.

jouer la comédie et n'oubli

se retourna s

les observer, il vous faut descendre et danser avec

cendre tant qu'Adélie ne serrait pas arrivée. Malheureusement au bout d'un

ustave passa son masque de Souverain et leur sourit. Il alla s'asseoir sur son trône au bout de la pièce. Il l'avai

portes. Gustave gardait les yeux fixé sur elles. Les deux grandes et ha

ui. Trois jeunes femmes s'étaient approchées de lui. L

ais si... si vous voudriez ... dans

avec elle mais il força son sourire et se l

èrent sous le regard envieux de toutes les autres. Gustave ne souriait plus, la je

courter la danse. Il allait pouvoir retourner sur son trône mais subi

èrent de joie q

des énormes portes de la pièce dan

al à l'aise. En effet Adélie n'était pas habituée à avoir autant de paires d'yeux fixés sur

son corps ne souhaitait bouger, ses yeux

s tombaient du plafond et de magnifiques compositions florales ornaien

ur de lui l'en empêchait et cela le plongeait au bord de la folie. Il leva doucement la tête vers le balcon où son

e reprit de suite. Il tendit une main vers Adélie. Celle-ci sentait

Roi l'attira à lui si bien que leurs corps furent presque collés. Les chuchotements qui s'élevaient dans la

avait aucun bal, comme si Adélie n'étais pas fille de jardinier, comme si Gusta

vie mais par chance le Roi la guidait bien

our rien au monde quand Gustave regarda vers l

u'il tenait dans ses bras à cet instant, il ne souhaitait plus f

e Roi partit à la recherche de la Reine-Mère. Laissant la pa

nes filles et les chuchotements la mirent si mal à l'aise qu'elle s

ouloir, Gustave ap

cria-t-il pou

vous donc !? L

à toutes ses jeunes femmes qui pensent avoir une chance d'être la future Reine d

our se tourner vers son fils. Un so

vous l'accepterez, mieux ce sera pour le peuple et nous même, elle approcha pour lui caresser la joue, éloigner vous

dégagea e

t je me marierez et vous serez défi

reto

t osait-il, la chaire de sa chaire, le sang de son sang souhaitait lu

e sang do

taines jeune fille restaient discrètes mais

n coin de la pièce en priant pou

délie ne souhaitait qu'une chose, courir le rejoindre mais elle ne pouva

tour du Souverain. Mais il ne leur adressa auc

r se faire oublier, elle n'attenda

qu'elle jeune femme serait choisie pour devenir sa Reine. Peut être la petite brune qui riait là-bas ou alors

es de se faire remarquer par Gustave. Un gloussement ici un pas de danse là mais le Ro

ance indéniable pour Adélie ou encore aux révoltes qui gronda

la raison il ne s

ent et que les douze coups de minuit avaient déj

otre déplacement au palais, vous avez rendu cette réception mémorable et chaleur

nt, elles retena

ntre vous deviendra ma femme,

t la fête reprit. Gustave reg

couloir sombre et humide. Elle connaissait ces corridors par cœur, ils menaient vers les cha

usque dans son ancienne chambre

bscurité mais Adélie entendit l

lle toi c'est moi, Ad

va brusquement e

'attendais de

aussi fort on risq

tu étais au bal que le Roi a

e pas Gustave av

Gusta

de cacher ses joues qui roug

emanda son amie qui s'é

fortune ! Prend la et vend la,

as... garde là tu donnera

e en a plus besoin que la mienne, ta mère

té là pour elle et elle le sera toujours. Avec les larmes aux ye

ille robe de chambre qu'ell

s que l'on remarque mon absence,

dans les bras,

ir des chambres était si silencieux qu

a chambre sans se faire remarq

e allait longer le même sombre et humid

ri strident. La lueur

ille ?! » c'était une voix de

grande domestique, une vieille femme chargé de l'ordre et de la discipline chez les

vos dortoirs ?! Et... q

gné la parure que Gu

t aux petites voleuses mademoi

d'ici mais les ongles de la grande dom