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été bleu / bakugoXreader

été bleu / bakugoXreader

Auteur: rekilat
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Chapitre 1 chapitre 1

Nombre de mots : 3032    |    Mis à jour : 02/02/2022

e école, ce pays. Tu n'avais jamais réussi à te faire à cette

dans un cadre privé, pouvait engendrer de lourdes amendes. Les quelques vilains qui continuaient de

leur mouvement et leur densité. Ainsi, tu avais la capacité de déplacer des objets, contrôler les mouvements des gens, ou de changer l'état de l'eau par exemp

de poursuivre tes études au Japon, visant le prestigieux lycée Yuei. Ta mère, qui ne t'avais pas retenue le moins du mond

tu t'entendais bien avec tes hôtes et passer l'examen d'entrée à Yu

ir en Asie. Mais de toute façon, qu'est ce qui te retenait ici ? Tu n'avais pas d'amis, tu n'aimais pas ta famille,

mais il durait quand même une bonne douzaine d'heur

as, ou se moque de ton accent. Évidemment tu avais pris des cours de japonais et tu t'en sortais même très bien, mais seulement en théorie, tu n'avais jamais eu de réelle

rifiant mais maintenant t

ussi à tout empiler dans une seule valise qui, pour le coup, était énorme. Tu la retrouvas rapidement et la sortis avec grande peine du ta

l'habitude de respirer, presque piquant. Tu l'ins

i Bakugo t'avais laissé. Vous étiez bien obligé de communiquer ai

suki refuse de bouger, tu arriveras à

, et que tu l'appellerais en cas de probl

doigts bien agripper à ton bagage, tu faisais de grand pas pour en finir le

ue ton geste n'avait réussis qu'à faire voler la roue en éclats. Avec le poids qu'elle pesait, impossible de la porter. Tu l'as laissas tomber lourdement sur le sol et donna u

sortis ton téléphone. Au moi

e que moi, à ce

teur de cette remarque qui avait été faite sur un ton incroyablement désagré

ient son envie d'être n'importe où sauf ici. Son visage était fermé, voir fr

tsuk

lle, la description que t'avais faite sa mère de lui c

le moi

dirigea dans la direction de la voiture, sans te jeter un regard. S

sur ta façon de te parler leur. Leur fils, pendant ce temps, chargeait tes affaires dans la voiture. Il claqua la

et la vie en France, tu y répondais volontiers, comme tu pouvais, avec le vocabulaire que tu avais. Ils parlaient si vite que tu avais du mal à co

colocataire de ton âge mais cohabiter avec lui all

plaît. » Te demanda Masaru Bakug

is appelez-moi se

tu vas vivre avecà nous, autant tout de suite dire

a échapper un

le défier du regard. Tu soutins son regard une seconde, refusant de te laisser faire p

up d'œil à la scène par le rétrovise

ire le plaisir de fair

éhensibles pour toi mais qui firent virer l'exp

lement Katsuki à très envie de te prêter la sienne, elle est plus spacie

r autant qu'il n'ose dire quoi que ce soit. C'était évident qu'il n'avait aucune envi

très gentil de t

qu'il t'avait demandé de ne

devant une énorme maison familiale aux murs de briques cla

que la chambre d'amis qu'ils t'auraient proposée n'était sûrement pas minuscule et q

simple regard de Mitsuki le fit faire demi-tou

parait, formant deux balcons au-dessus d'une immense salle à manger. Tu pouvais apercev

en me désignant le garçon qui montait les

emercier et de m'éclipser. Katsuki allait emprunt

DROI

sur ses pas. Il donna un grand coup de pied dans la pre

t de verre et donnait sur un petit balcon. De devant le lit, partaient des escaliers qui menaient à une mezzanine

e avant de t'asseoir sur la chaise de bureau, doss

akugo... »

à nouveau dans les poches. A l'enten

mieux qu'on s'entende bien ? » di

d'être aussi insolente. Après

se dirigea v

» ajouta-t-il en pointant une porte en bois

Tu ouvris ta valise, en sortis un short et un t-shirt over size, de quoi ch

avais simplement le souffle coupé. Cette salle d

acuzzi après avoir remarqué les multiples petits cratères noir qui ornaient le fond. La cabine de do

lé dans la serrure avant de laisser tomber tes vêtements part terre et de t'allonger sur le carrelage fro

multiples questions de Masaru. Katsuki était... comme sa mère te l'avait décrit. Quand vous aviez comm

'arrêter comme ça. Certes, il était horriblement froid, mais il te semblait bien, vu le regard qu'il t'avait lancé dans la voit

gèrement sculpté ; il devait déjà s'entraîner, et son visage, malgré le fait qu'il était complètement fermé, avait

sortis tu commenças à fouiller dans l'armoire qui prenait le coin du fond à droite, trouvant rapi

nt tout était déjà près. Tu remercias grandement tes hôtes quand vous vous mîmes à ta

cette école pour qu'il se défoule un peu parce qu'on n'en peut plus ici. En permanence en train de crier et

rait jaloux de toi ? Est ce qu'il avait seu

n regardant son salon de luxe, « alors, c'est vrai qu'il était un peu seul. Et le fait que tu arrives ici, je pense qu'il le prend comme du remplacement, alors que c'est tout le contraire. Une des rai

Après avoir fini de manger tu t'excusas de partir si vite et montas te coucher. Tu n'en p

toujours introuvable. En entrant dans sa chambre, tu remarquas qu'i

faire un seul mouvement, quel qu'il soit. Tu t'enroula

de lessive et de vanille. Tu humas le parfum à plusieurs reprises. C'était presque

ion assise. La lumière s'alluma, t'agressant les ye

ça va p

ndre. Il avança à tâtons avant d'appuyer sur un autre interrup

voir ce que

ma chambre à ce

un long soupir et te laissa tomber en arrière, dans la multitude de coussin mo

e mur de gauche et la batterie dans le fond à droite. Le sol entre la télé et l'instrument était couvert

l avait les yeux fermés et un casque sur les oreilles, il n'avait probablement même pas remarqué ta présence. Tu le fixas pas

is jugé un peu vite. Tu avalas une gorgée du contenu de ton verre qui avait un gout étrange alo

tuer si tu continues à

s joues du d

s que cette pièce

allait prendr

tend

Il te regarda avec interrogation et tu lui fis signe de le prendre. E

s le noir. Tu descendais doucement les marches, bien agripper à la rambarde, pour ne pas tombe

~

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