Un duc à aimer
désormais rouges, tombaient sans cesse. Ces bestioles avaient comme le don de le calmer et de guérir sa frustration qui ne cessait de grandir de jour en jour. Assis sur le pe
liquide rouge au goût métallique envahir ses papilles gustatives. Il ignorait comment une personnalité de son rang avait pu s'enliser à ce point dans une situation aussi désespérée. Lui, le duc de Huntigamm, se retrouvait coincé entre les quatre murs d'une prison qui malgré la
passait. Son emprisonnement n'était plus à l'insu des gens, amis comme ennemis et sa notoriété avait perdu de sa valeur. La veille, Dove avait pris le soin de le contacter pour l'informer de sa prochaine rencontre avec son nouvel avocat. Dès lors que la nouvelle avait fait écho dans sa tête, il n'avait eu de cesse de pense
illiardaire de sa torpeur. Puis, de nombreux bruits s'en suivirent. De sa cellule, Alexei pouvait clairement di
voir ouvert la porte de la cellule à la vo
urtes qu'il portait. Ses bottes en cuir, entrant en contact avec le sol parfaitement cimenté, donnait lieu à des répercussions sonores plus qu'agaçantes. Alexei souffla. De ce genre de vacarme, il avait l'habitude. Aussi, avait-il appris à faire fi des commenta
ompléta-t-il en frappant la
os. Immédiatement, le duc tendit ses poignets puis, il fut menotté. Au clic de la fermeture de l'objet, le surveillant fit pression dans le dos de son prisonnier qui se mit en marche. Malgré la douleur intense qui lui radiait les membres, Alexei poursuivit sa marche, toujours suivit de son tortionnaire jusqu'à la salle d'attente. Dès qu'ils furent entrés, il reconnut rapidement son frère Dove et quand il s'ass
estait?, demanda Alexei à l'endroit de son f
bord les yeux puis inspira. Alexei attendait des explications et pas des moindr
s et je n'avais pas le moyen de te prendre un avocat de ce nom. J'ai été obligée de demander des serv
chatins négligemment tressés en une longue queue de cheval ainsi que ses iris de la même couleur. Ses yeux en amande recouverts par de longs cils
e. Alexei ne sut pourquoi, mais dès que son regard se posa sur ses mains fermées en un poings, il devina que la jeune femme était tétanisée. Le d
il de but en blanc à la jeune femme, dé
us tôt, son client discutait en une langue étrangère avec son frère, puis la minute d'après, il la questionnai
. Bonj
i d'une voix qui se voulait rassurante. Vous
t retiré, revint dans la pièce pour se saisir du détenu. Sans plus aucun regard, le
main sur son épaule. Tout est de ma faute. J'aurai dû mieux le préparer
re même désagréables, mais elle avait l'habitude et son mentor l'y avait longtemps préparé durant ses années de stage. Cependant, la tâche ne serait pas facile vu qu'elle aurait à supporter les caprices d'un milliardaire pressé de retrouver sa liberté. Et vu les nombr