Un duc à aimer
rtait plusieurs documents, dont de nombreuses photos dont elle ne se gêna pas pour éparpiller sur la table basse. Prostrée à même le sol, la jeune femme lisait, observait, écrivait quelque chos
é toute la nuit et avait trouvé le parfait indicateur. Quoi de mieux que d'interroger en premier lieu le frère du détenu? Si cela se trouvait Dove avait passé le plus clair de son enfance avec le milliardaire, sinon pourquoi s'investir à ce point dans sa libération? Dove était bien placé p
rustée dans la porte marbrée d'entré, Dayana remarqua son reflet puis marqua une pause. Elle se rapprocha encore, pour mieux se contempler. Bien vite, son attention fut attirée sur les cernes grisâtres qui soulignaient ses yeux. En même temps, elle trouva cela normal, puisque ces derniers jours n'avaient pas été de tous repos. Comment po
in d'arranger ses cheveux et de les rassembler en un chignon avant de se saisir de son sac ainsi que de ses clés. Une longue journée l'attendait. Une fois dehors, elle prit un taxi tout en indiquant au chauffeur, son lieu de rendez-vous. En moins de temps qu'elle ne l'aurait voulue, elle fut devant ce qui fut, la demeure de Dove. Dayana equarquilla les yeux. Jamais elle n'aurait cru Dove vi
r vers elle, des hommes en uniforme, leur mains sagement posé sur la gâchette de leur arme, comme s'ils furent prêt
mmença le deuxième. En quoi
e Kovaleivski, dit Dayana d'une voi
emanda la premier homme
ana F
vit l'un des gardes murmurer quelques bribes de mots à son tal
. Vous pouv
enait pas ses agissements, pourtant, elle aurait juré ne l'avoir jamais croisé auparavant. Fort heureusement, ils arrivèrent à destination. Le frère du duc se trouvait dans s
ove. Comment
ue me vaut donc u
t pas vraiment aller chez cet homme. Allait-il b
ez-vous, Dove. C'e
rit un instant pour congédier ses invités avant de revenir à l'a
ître, reprit-il comm
quelques questions. C'est
contenta juste de tourner le dos à Dayana et d'entamer quelques pas pour s'enfoncer encore plus da
donc maît
uraient l'espace, Dayana fut subjuguée par le calme subtil de l'endroit. Le silence n'était pas pesant, encore moins gênant. Dayana s'y
ous prie, invita Dov
lle ne se gêna pas pour poser
vous serve du café ou
lina Dayan
à ses questions. Certes, le liquide lui aurait apporté quelques calo
femme?, attaqua-t-elle directement
debout. Son regard caressait l'horizon.
ncore de femmes de joies? Était-il féru d'act
re ?, finit-il par demander en déla
e sont passés ce soir là, Dove et les dépositions d
elles à l'envo
C'est p
eux sur lui, suspendue à ses lèvres, attendant impatiemment que l'homme l
e peux pas vous aider. J'ignore tout de ce que fai
le ne comprenait pas c
issance. Comment pouvez-vous prétendre i
pas possibl
ans sa chaise. Elle hallucinait sû
frère aller en prison sans pour autant le défendre. À quoi a
ésolé, maître. Je ne
r dans son regard ? Pourquoi la fuait-il? Pourquoi se contentait-il de plonger son regard dans l'infini? Comprenant que son inter