Soumises à Monsieur
ulot de cet abruti de comptable depuis le début de la semaine, ce qui le rendait de plus en plus facilement irritable. La soirée du samedi, n'avait pas arrangé sa situation. Il se
que quelque chose de la sorte ait un quelconque impact sur ses journée
panouie moins vite que les autres. Elle semblait chercher de l'aide... Il n'allait pas jusqu'à s'imaginer qu'elle était en danger de mort. Mais pour la première fois depuis très longtemps, sa détresse l'avait touché. Elle semblait si réelle, si
dans sa salle. Il ne se mentait pas, elle avait cette attitude si docile, si enclin à la soumission et lorsqu'elle l'avait appelé monsieur... Un sourire s'était
n bureau, avant de commencer à ramasser
it une voix féminine, avan
e portaient une confiance totale et mutuelle. Le temps n'avait que plus solidifier leur relation. À la fête des mères, il n'oubliait jamais de lui faire livrer à temps, un bouquet de ses fleurs préférées. Autant, celui de sa mè
ent présente pour lui. Ils lui avaient tous ri au nez quand, il avait parlé de son projet de créer un cabinet d'architecte. Elle n'avait jamais douté de lui et des capacités. Elle ne voulait pas lui dire
rer, voir même un peu trop. Il y avait anguille sous r
z-vous, lui demanda-t-elle, ave
ené sur terre après son moment d'égarement. Il vit tout de suite dans son regard b
raiment au goût de son patron, mais il laissa couler, ne voulant pas entrer en conflit avec sa merveilleuse secrétaire. Quand allez-vou
je travaille. Mais c'est clair, que c'est devenu une situation urge
in de trier pour mon plus grand plaisir, lui dit-elle cyniquement. C'est clair, que vous semblez v
nia, lui dit-elle en récupérant son
pacité à toujours lui être utile et à prendre les devants sur ses potent
s ne dites cela qu
t il s'énervait assez facilement, lui qui veillait à toujours garder son sang-froid. Il était en manque. Elle l'aurait bien charrié, mais ils étaient au bureau
ne soirée au clu
timait fortement, mais son égo est une chose qu'il ne souhaitait pas plus enfler qu'il ne l'était déjà. Aussi bien, qu'il avait un certain égo, Sonia était domi
lui faire des remarques. La jeune femme devant lui, se déhanchait de manière très peu subtil pour recevoir son attention. Scott se rendait bien compte du petit manège qui se déroulait devant lui. Mais il ne fit aucune remarque, se concentrant sur le papier qu'elle lui avait tendu. Il aurait pu se montr
and jour, lui répondit Coris, d
vous y mettre ? Premièremen
e votre bonne humeur fait plaisir à voir depuis samedi. Do
heures pour la soirée. J'ai besoin que t
ès b
fications requises pour travailler avec lui et pour lui. Ce qui le faisait toujours marrer. Il était bien
ur s'adonner à l'une de ses grandes passions, la lecture. De ce fait, il en profitait dès qu'il pouvait et les embouteillages à Paris en fin de soirée, le permettaient grandement. Il pouvait pendant ce temps se relaxer calmement et laisser son cerveau fourmiller de questions. Et si el