Soumises à Monsieur

ivant à Paris, la pluie à l'extérieur ne faisait que renforcer son humeur massacrante.

endre ici, dit-il avant que son chauffeur

leut fortement, comme

Cette pluie est l'idéal pou

u club, qui s'était déroulé moins bien qu'il espérait. Il était tellement tendu, qu'il s'était un peu défoulé sur la jeune femme. Elle garderait sûrement des traces du martinet plus de 2 semaines, et non seulement de ça mais la séance n'avait point eu l'effet escompté. La jeune femme, manquait cruellement de résistance, et n'avait pas enduré sa punition du mieux qu'elle pouvait. Elle s'était réfugié co

nnant sa position. Un léger éternuement le sortit de sa torpeur. Juste à côté de lui, se trouvait une jeune femme : Blonde, mince, avec une poitrine alléchante que sa chemise devenue sûrement transparente, à cause de la pluie laissait entrevoir, accolée au mur et les yeux baissés. Comme tout homme l'aurait fait, il se mit à la détailler et à avoir l'envi de réconfort. Petit à petit, il

ne manière voudrait qu'elle le remercie. Ce qu'elle fit donc, mais elle ne s'attendait pas à ce qu'elle vit. Des cheveux noirs, qui lui tombaient sur le visage à cause de la pluie. Des yeux d'un vert profond, des lèvres pulpeuses, un homme de taille conséquente... Elle avait rencontré des h

ansperçant lui fit baisser les yeux et détourner le regard. Le jeune homme à côté d'elle, expira bruyamment. Je vous présent

nance du jeune homme lui plut. Finalement, elle se dit que sa journée ne pouvait être p

de se convaincre que c'était sa séance ratée et sa frustration, qui le faisait se comporter comme un puceau. Mais un fait en restait toujours un, il avait une furieuse envie de baiser, pas particulièrement avec la femme à ses côtés, mais juste de baiser. Néanmoins l'idée de la voir gémir sous ses coups de reins, s'insinua doucement mais sûrem

ée, elle donnerait beaucoup pour pouvoir la réentendre et surtout l'entendre lui susurrer des mots d'amour. Car si elle ét

s'arrêta devant la boutique. Le jeune homme de

z-vous que je

s la scène de cet après-midi. Mais elle savait aussi qu'elle ne pouvait fuir éternell

-vous vous

l'une de celle qui avait grandi en sachant qu'il ne fallait pas suivre les

t la convaincre de la suivre. Il se faisait tard et il ne voulait pas avoir à se faire un sang d'encre pour elle. Il était certes égoïste, mais pas non plus sans cœur. Finalement, elle se décida

pris une servie

rci

es muscles se tendirent un peu plus à mesure que des idées de punition naissaient dans son esprit. Il tentait violement de ne pas

s et

t baissé les yeux, et avait pris la serviette sans rechigner cette fois-ci. Vous étiez dehors depu

duisait son embarras et sa peur de confrontation. Il ne voulait pas être la source de s

s-nous vou

ent, avant détourner le regard vers la vitre à côté d'elle. L'attitude de la jeune femme, commençait à le faire réagir de la manière dont il ne souhaitait surtout pas. Elle semblait perdue

age qui défilait, évitant toute confrontation. Lui semblait absorbé par son téléphone, essay

main, mais depuis sa relation avec Donald, elle était devenue une petite chose dépendante et très indécise. Mais si il y avait bien une chose qui n'avait pas changé, c'était le fait qu'elle n'était pas stupide. Elle avait bien remarqué le regard déshabillant du jeune homme sur ell

attendre qu'elle s'exprime pour de bon. Ne me laissez pas, ramenez moi chez

plutôt elle ne l'était plus depuis le début de sa relation. Un sourire tendre apparut sur le visage du jeune homme. I

l'oreille, d'une voix ensorcelante: Je ne fais pas l'amour, je baise. Mon unive

hose était sûre, elle le voulait. Elle était d

us ne me connaissez pas

t avoir du caractère. Elle l'intéressait au plus haut point. Il se décida à lui donner une chance. Il sortit de l

rai à quoi vous vous engageriez avec moi. La portière de son côté à elle, s'était ouverte. Il prit sa main où il dé

. Tous ces mots semblaient receler tant de

is-je de

cot

ait chaleureusement. Elle comptait s'en aller, quand elle sentit une pression sur son bras.

-il en la fusillant littéralement du regard. Ne pe

de manquer de politesse à son égard. Mais le regard

a... mo

eune homme se détendit et se retira de la sienne. Son visage auparav

, dit-il de sa voix avec douceur. R

e. Elle était complètement déboussolée. Elle marcha

n route. Scott se dit à ce moment-là, que sa journé