L'atome souriant - Opéra cosmique
s n'a plus d'importance : mort il y a trente secondes
, pas de train à prendre en marche : le r
affectionné les très
compte, une telle harmonie, penser que cela ne finira jama
ne sait pas encore où je vais aller. Cela ne s'appelle
lent mais à plus grande éc
déplacée » (par les « autres », d'ailleurs !) ça aid
s, comme du temps où je devais les porter
me mettait. On avait beau limiter mes libertés, « barbeliser » mon cha
ens de quitter aussi brusquement), que j'étais parven
tres –, cela ne « leur » suffisait pas encore. « Ils » voulaient vraiment nous réduire. Au minimum. En fum
s deux cas. « Ils » ne pouvaient pas gagner c
, massive, scientifique,
« sans nous »,
ris « après » ? « Ils » a
utres victimes, exploiter leu
ut bien d
peau, des cheveux trop crépus, des lèvres lippues,
du solide ! Ça vient du fond du cœur
es d'oppression ne sont n
est la d
nos nez crochus », nos « lèvres épaisses », notre « pea
, aux lèvres minces, aux peaux clai
nne : on les ass
eilleures places, car ils sont les plus «
nous concède un cerveau supér
que je suis (le mot est malheure
emblables et pour moi-même le droit à la connerie,
à cette idée, il n'y a p