Mon amour pour Itachi [partie 1]

. Je plane dans le vide. Je ne vois pas le bout.

Je mets une main devant mes yeux pour les protéger. Le faisceau disparait rapide

l'endroit est éclairé, et j'entends un murmure. En plus je sents une douleur au niveau de mon front. Je ne m'arrête pas pour auta

s au bout de quelques secondes et j'ouvre les yeux. Un visage connu

Tu te réveilles en

.. Qu...qu'est-ce que... Je n'

pour vérifier si je saigne. Non, mais j

vu tomber la tête la première. *rit*. Tu a

son rire. Mais je vois b

y avait un animal sauvage dans les bois et

proches à mon goût. Comme un réflexe, je sursaute en arrière et heurte un arbre. Je

sourit avant

i si je t'ai fait peur. Ce

pas

vertiges et donc je retombe sur mon derrière

aï,a

de la doulour, Shisui

Je te ramène chez toi. E

i semble avoir saisit mon malais

de toi. Je ne les ai pas oubl

t vrai. Je ne sais pas si ce genre de chose fait parti de ce que les amis ont l'habitude de fai

ter. En plus tu n'es pas en état de marcher toute seule.

e lève et ramasse mon sac. Kyaaa!! J'ai faillit tomber. Il faut que je m'accroche bien. Faud

dre le sol en pleine face... J'avais si peur qu

éjà fait un bon bout de chemin. Je pa

s super vite, onicha

ninja. En plus t'es pas si lourd

s lourde. Ça veut dire que je suis faible. Un simpl

é. Tu peux te reposer en attendant. Est-ce qu

suis coupée de la réalité et repense à cet événement. Ça fait tro

it sa dernière mission. Une fois arrivés à Konoha, les autres n

la boutique pour le regarder de plus près. Quant à Shisui-kun, il le protégeait des autres ninjas. A

i supplié d'adopter le chiot. Évidemment, il n'était pas d

qu'il détruise, déchire ou peu imp

Donc mon père a accepté. Les autres ninjas sont partis, mi-déçus, mi-rassur

nner des conseils, pour bien élever Sado. C'est un très

y est. On

aute, s

assoupie un court instant.

cher toute seule maintenant. Après de longs remerciements,

r Itachi tout à l'heure? Me demand

. Non pas lui. Le mec le plus bizarre que

je un sourir forcé p

me retourner. Noooon ! criai-je intérieuremen

inte, les bras croisés. Oh non, elle n'est pa

pour

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