Mon amour pour Itachi [partie 1]
ois m'être endormie une seule seconde. Je me tourne et retourne. Je gigote. Me couvre, me découvre. *so
Une ombre près de la fenêtre attire mon attention. Je me fro
rs et me dirige vers la fenêtre. Je la ferme et
cuisine, prendre un verre de lait. J'ai entendu dire que c'
us mes efforts, mes pas émettent un grincement, qui risque bien de réveiller mes parents. Ils ont le sommeil léger. Si j'étais une n
J'ouvre le frigo et en ressort une brique de lait. Je remplis
reste figée sur place. Je me retourne et tombe sur ma mère. Elle n'a pas l'air contente,
mieux de le pose
isit une chaise sur laquelle elle prend place, et me fait signe de la rejoindre. J'hésite longuement avant de la rej
s, tu n'arrive pas
ment la tête, un
ormal, après ce
dit toutes ces choses dures maman
. Me confie-t-elle. Je vais te raconter une petite histoire. Comme quand t
r. Elle saisit mes mains dans
é de Konoha, une jeune fille seule et t
éer des liens avec elle. Mais elle les repoussait, ne sachant pas co
l'année suivante, ell
de s'habiller. Ce qui plu à beaucoup de ses camarades.
l'aidaient. Même au deuil de ses parents, seuls quelqu
à distinguer ses vrais amis de ceux qui
avait beaucoup d'amis.
n'aurait que de vrais amis. Pour cela
le dos. Seuls les vrais restèrent avec elle. Et elle
se force pas, qu'elle ne s'invente pas. Elle se co
œil. Je comprends alors qu'il s'agit de son histoi
si vulnérable et triste. Elle essuie rapidem
e comprends pas pourquoi tu me la raconte
t-elle avant de poursuivre, remarquant mon trouble. Excuses moi, Je ne voulais pas te forcer. Mais comprends moi, Je ne veux pas te voir fuir ainsi l'a
dément, elle ne
'être la mère que tu es et dont je suis fière. Mais j'aimerais que tu arrêtes de te mêler de ma vie, de mes re
e ne m'en mêlerai plus. À moins que tu ne me le deman
la prends da
ime maman. L
-t-elle à mon oreille. Tu es ce
mon verre. Je lui lance un "bonne nuit", avant de
oindre ma chambre. Mais dès que j'y mets pieds, quelque chose attire mon attention. Ma fenêtre... Je
dans les bras de ma mère... Non non, On
fenêtre. Je la referme, sans manquer de jeter un cou
redépose le verre et m'engloutie dans ma couverture. Je ferme mes ye
i longue. J'ai hâte. Mais avant, il faudra que je parle de cette fenê
************