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Son mensonge parfait, sa vérité cruelle

Chapitre 7 

Nombre de mots : 1173    |    Mis à jour : 26/12/2025

e vue d

frayant un chemin à travers la foule restante. « Que s'est-il passé ici ? » demand

es agents de sécurité, ses yeux me trouvant immédiatement. « Tu es blessée ? Qu'est-ce qui s'est passé,

en et Béatrice. « Il t'a juste laissée là ? Il est juste parti pendant que tu saignais ?! » Sa voix était

rtains galas de charité de Bastien, commencèrent à se rassembler, leurs ex

e d'elles, sa voix remplie de sympathie.

choir propre. « Ce n'est pas juste. Nous devons faire quelque chose. Nous pouvons le dénoncer

ie totalement seule, isolée par les manipulations subtiles de Bastien et ma propre hont

dans mes yeux. Pas ici. Pas ma

. Plus d'indignation publique. » Je regardai Ava, mon regard stable

tes ces années ? Après tout ce que tu as supporté ? » Sa voix était empreinte d'une

e amie en s'approchant. « Qu'est-ce qui t

côtés, s'appuyant lourdement sur lui. Il avait l'air fur

, sa voix tendue. « Tu provoques une émeute m

Ava, se plaçant devant moi pour me protéger. «

ui cherche l'attention », dit Bastien, sa voix froide. Il me r

entendu, Bastien. » Je regardai Ava. « Mes amis s'inquiètent simplement po

veux jouer la victime ? Tu veux des excuses pour ta petite chute ? Très bien.

rité. » Je regardai Bastien, puis la foule qui s'attardait. « Peut-être devri

dré. Ses lèvres tremblèrent, et elle recula

roit pour de telles discussions. Élodie, j'attends de toi que tu sois plus rationnelle que ça. » Il regarda Béatr

table. « Mais je ne vais pas non plus rester là à être fa

la main, sa main agrippant instinctivem

ppa, une secousse de

che de sang qui fleurissait sur ma manche. « Ton bras ! Tu es blessée

« Ce qui s'est passé, c'est que ta précieuse Béatrice l'a poussée dans un présentoir en porcela

l regarda mon bras, puis de nouveau Ava, sans voix. « J

« Tu étais aveugle, Bastie

vu. J'étais tellement pris par la détresse de Béatrice, je ne réfléchissais pas. » Sa main se tendit v

en baissant ma manche pour couvrir la bl

s contrariée, je comprends. Mais tu connais Béatrice. Elle est fragile. Elle ne veut pas faire de mal. Elle est juste... dépassée. » Sa voix était

S'il te plaît, Élodie. Essaie de com

ent qu'il faisait ce qu'il fallait, remplissant une noble obligation. Il ne me

x plate, dépourvue d'émotion.

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