icon 0
icon Recharger
rightIcon
icon Historique
rightIcon
icon Déconnexion
rightIcon
icon Télécharger l'appli
rightIcon

Son mensonge parfait, sa vérité cruelle

Chapitre 4 

Nombre de mots : 1388    |    Mis à jour : 26/12/2025

e vue d

ai-je, ma voix à peine plus haute qu'un mu

ttendu. Je pensais que tu serais... bouleversée. » Il me regarda, un étrange mélange de soulagement et

e. Ses bras se resserrèrent, une pression possessive qu

au, ses doigts volant sur le clavier. Quelques cli

t. De ses maladies d'enfance à ses récentes évaluatio

rdonnances. Chaque malaise, chaque fluctuation émotionnelle, chaque crise de fragilité était documentée avec une minutie presqu

tome. Ma douleur était une note de bas de page ; sa fragilité, une saga. Il avait passé des an

moi. La prise de conscience, bien que déjà connue, s'

a-t-il, sa voix douce, inquiète. « E

ral aurait tout gâché. « J'essaie juste d'avoir une vue d'ensemble », murmu

? » demandai-je, ma voix plate, dépou

é par ma conformité apparente. « Bi

. « Je dois aller voir Félix », dis-je en me levant, le poids des données une

ement, se levant aussi. « Je n'ai pas vu

vec le garçon fragile que j'aimais plus que ma propre vie. Il avait toujours été « trop occupé », « trop débordé de t

avait disparu, remplacée par une résolution froide et calculatrice. C'était une trans

r, un réconfort familier. L'infirmière Ella, une femme aimable qui adorait Félix, accueillit Basti

e pendant des années. « Je viens juste prendre des nouvelles

n, le parfait homme de famille attentionné. L'infirmière Ella, joua

on esprit, une décision douloureuse se solidifiant en u

Bastien me tira de mes p

n sourire. « Juste perdue dans

la. « Il est dans la salle de loisirs. Le médecin est sur

llit chaleureusement. « Monsieur et Madame de Veyrac. Merci d'être venus. Nous avons une nouvelle option de traitement prometteuse à d

pes », continua le Dr Rodriguez en ajustant ses lunettes. « Celle dont v

, les yeux écarquillés de confusion. « L

ur parler, pour mentir, pour détourner la conversa

le de loisirs voisine m'interrompit. Un cri

orge. Mon sang se glaça. La brochure, la tromperie, Bastien

urant vers le bruit, mon cœur men

au-dessus de lui, les yeux écarquillés, la main sur la bouche. « Je... je l'ai j

Je tombai à genoux, la repoussant, mes mains volant vers le po

l convulsait, son corps déjà fragile luttant pour resp

ve et autoritaire, aboya dans l'interphone d'urgence fixé au mur. Il

nches et de mouvements frénétiques. Ils me repoussèrent doucemen

ée d'atteindre Félix. « Non ! C'est

oin, feignant le choc. « Toi », grondai-je, ma voix basse et venimeus

! C'était un accident ! Il est juste...

s s'arrachant de mes entrailles

a main se tendant vers elle. « Él

gt tremblant vers Béatrice. « Emmène-la et

, la guidant hors de la pièce. Elle garda la tête baissée, mais je vis

ité. « La crise est passée. Elle a probablement été déclenché

rère gisait là, pâle et immobile, relié à des machines, son vis

Bonus à réclamer dans l'application

Ouvrir