Prison d'amour : Noyé dans la tromperie
ue d'Alix
gure immaculée dans son smoking, Eva une vision en blanc à ses côtés. Elle me ressemblait de manière troublante, une parodie grotesque de
rauque et éraillée, a
oisé le mien, et pendant une seconde fugace, j'ai vu la panique vaciller dans
gé, ma voix tremblant d'une fureur q
, la main tendue. « Alix,
pé, ma voix tranchant
ragile. « Oh, Alix, ma chérie. S'il te plaît, ne blâme pas Adrien. Tout est de ma faute. Je... je suis
-je ricané, mes yeux la parcourant de haut
Je vais juste partir. Tu peux le garder. Tu peux avoir le mariage ! » Elle a commencé à déboutonn
e de culpabilité et de quelque chose que je ne pouvais pas tout à fait déchiffrer. « Alix », a-t-i
ffrait des miettes, un lot de consolation après cinq ans d'enfer. « Non », ai-je murmur
. Sa main a jailli, ses ongles s'enfonçant dans mon bras, une piqûre de douleur aiguë. « Alix, s'il te plaît !
ent. Son corps a tangué, m'entraînant avec elle. Nous avons basculé dans l'océan glacial, le choc de l'
, un mouvement désespéré et instinctif. Mais il est passé devant moi, ses yeux fixés sur Eva, la berçant contre
notre avenir. Tout n'était qu'un mensonge. C'était un menteur. Et j'étais en trai
révulsée par l'hy