Prison d'amour : Noyé dans la tromperie
ue d'Alix
familière. La chambre d'Adrien. Les rideaux, les meubles, l'odeur de bois précieux et de parfum léger – tout était exactement comme dans
es yeux fuyant les miens dès qu'ils se sont croisés. Une lueur de quelque chose – de la
late, dépourvue d'émotion. « Elle a besoin de se reposer. Tu lui app
venait d'essayer de me noyer ? L'humiliation était une blessure à vif. Je voulais crier
a voix se durcissant, « il te met toujours
ez moi, que cela me rendait forte. Maintenant, c'était un défaut. Une raison pour sa cruauté. J'ai senti un friss
e plateau. Le porridge fumait, innocent et fade. Je me suis di
suis entrée, un sourire narquois jouant sur ses lèvres avant qu'elle ne le transforme en une grimace de douleur. « Oh, Alix. C'est si gentil de ta p
n'était pas un accident. Elle a délibérément renversé le bol, projetant du porridge brûlant sur mon avant-bras.
s-tu pu ?! Tu as essayé de me faire du mal ! Mon bébé ! » Elle
rage. Il s'est précipité aux côtés d'Eva, ses mains la vérifiant
ntant un doigt tremblant vers moi. « Elle est si jalouse, A
Alix ! » a-t-il rugi, sa voix empreinte de venin. « Com
Je n'ai pas... », ai-je dit, ma voix à peine
ses doigts s'enfonçant dans ma peau à vif. Il m'a poussée hors de la pièce, claquant la porte
je me suis appuyée contre le mur froid, la tête me tournant. J'ai retroussé ma manche. La brûlure était vive, déjà en train de s'infecter. J'ent
cueillant la douleur vive. C'était une distraction, un bouclier contre les blessures plu