Les gladiatrices du XXIe siècle - Tome II
eures cinquante-cinq, d'un coup ça remue autour et dans le camion, la navette arrive avec son petit fanal blanc à la proue qui permet de la distinguer, sinon on ne voit pas à plus de cinq
vie par la troisième. Demain matin, Yves repartira à Marseille pour rendre la camionnette et reviendra en taxi aussitôt après. Le voyage débutera vraiment vers quatorze heures, et après farniente, quasiment rien à faire qu'à prendre le soleil sur le pont, super
préviens que les filles ont un grand appétit, ce sont des guerrières et elles ont acq
i de la bière par exemple. Ils sirotent leurs boissons tout en discutant de choses et d'autres, jusqu'à la venue du maître d'hôtel annonçant le service. Le repas se déroule à l'intérieur car il fait frais avec la brise mais sans le soleil, ils sont mieux protégés ainsi. Le cuisinier du bord n'a rien à envier à Maria, ce qu'il propose est digne d'un chef et effectivement, lorsque la conversation vient à parler de lui, ils apprennent qu'il a fait sa formation en France durant des années
e ils sont conviés à la suivre sur le lieu de la location. Ils conviennent qu'effectivement le lieu est désert et pourrait servir à séquestrer plusieurs personnes. Mais le bâtiment est fermé et la porte est épaisse et lourde, il faut une clé pour l'ouvrir. La jeune femme a donné les clés au monsieur qui a loué le hangar et n'en possède pas d'autres. Il leur faut une commission rogatoire signée par un juge d'instruction. Bruno Clauzon appelle le juge de permanence et après accord il cherche sur son smartphone un serrurier et l'appelle pour qu'il vienne ouvrir une porte d'entrepôt à Villepinte, il lui donne les coordonnées et dit qu'il l'att
longtemps, dommage, il y a aussi deux télévisions et de la nourriture en quantité. À la tête
ur qu'ils passent le hangar au crible, il doit y avoir des tonnes d'indices, ça nous servira pour retrouver les kidnappeurs. Le capitaine Vianet a pris les choses en main et organise le travail sur place, il renvoie la jeune femme en la remerciant chaleureusement, donne les directives à son copain et lui-même téléphone à son patron pour lui annon
place, on a contacté l'équipe
tout d
aussi le panorama qu'il trouve à son tour superbe. Être réchauffée par les rayons de l'astre solaire dès le réveil est tellement nouveau pour elle qu'elle décide de rester encore un long moment sur le pont, avant de rentrer prendre son petit déjeuner. Yves vient leur dire bonjour et part avec la camionnette pour la rendre à Marseille. Après
ns auspices, laissons-nous aller à prendre du bon temps
, elles doivent rester au top, à leur plus haut niveau. À deux, ils font le tour des otages, discutent un moment avec elles et leur précisent que pendant la traversée elles auront le droit de venir sur le pont prendre le soleil pendant une à deux heures par jour, à tour de rôle. Ils constatent qu'elles sont bien installées et ne manquent de rien, l'équipage fait le maximum pour approvisionner les détenues en boissons et vivre. À heure régulière, l'équipe passe pour leur permettre de se laver et se soulager, comme elles mangent