Sa trahison, son cœur en miettes
/0/31095/coverbig.jpg?v=20251218165200&imageMogr2/format/webp)
seuse étoile était finie, mais ma mère mourante avait obtenu une gr
r. Lui et sa maîtresse l'on
est
mur. La chute n'a pas seulement fait voler mon monde en éclats
, il m'a pris ma
n sang, j'ai regardé l'homme pour qui j'av
ras jusqu'à ton
rcé et j'
l m'a retrouvée. Un homme
ns les yeux et je lui ai
seconde chance p
pit
ène
d'autre, laissant Julie dépérir. Mon souffle s'est bloqué dans ma gorge, un son rauque et désespéré que je peinais à reconnaître comme
rs et de supplications. Mes mains, tremblant de manière incontrôlable, se sont agrippées à la ves
ureté inconnue. Il s'est dégagé, son mouvement subtil mais ferme, coupant le dernier lien phy
on sincère. C'était le même ton qu'il utilisait pour écarter une acquisition r
oix a grimpé, craquant d'incrédulité. « Ce cœur était pour Julie ! Le dernier cadeau
indigne de toi. » Il a jeté un coup d'œil autour du couloir désert de l'hôpital, comme s'il craignait que quelqu'un
avait passé ses derniers jours à s'assurer que Julie vivrait. Elle avait trouvé un donneur, sécurisé la compatibilité, tout orchestré,
résonnant contre les murs silencieux. « C'était le dernier vœu d
neste. Je devais trouver l'administrateur de l'hôpital, les médecins, n'importe qui qui voudrait bien écouter.
e ça ? » a-t-il exigé, s
mon bras. « Je vais les forcer à le rendre ! Julie
à réparer. Le cœur est en cours de préparation pour son receveur à l'heure où nous par
s. Je l'ai fixé, vraiment fixé, comme si je le voyais pour la première fois. L'homme que j'avais aimé, l'homme que j'avais épo
le. « Tu te fiches que Julie soit en train de mourir. Tu te fiches que le dernie
nt remplacée par son masque habituel de dédain. « Ne sois pas ridicule, Hélène. Je me soucie de toi
Il m'a rappelé d'innombrables autres fois où il avait rabaissé mes sentiments, tordant ma réalité jusqu'à ce que je dout
sœur est dans cette chambre, en train de s'éteindre, et tu qualif
nné derrière lui. « Est-ce que tout va bien, mon chéri ? Tu sais à quel
. Bie
de créateur impeccable. Elle se déplaçait avec une grâce sans effort qui se moquait de mon propre corps brisé. Elle
fait ses yeux. « Tu as l'air... mal en point. Tu devrais vraim
lle à Maxime. « De quoi vous occupez-vous exactement, Chloé ? Vous a
é, un son léger et tintant. « Hélène, ma chérie, ne sois pas si dramatique. C'est une simple et
lgurante dans mon flanc. Je l'ai ignorée. « Vous appelez ça une confusion quand vous manipulez
, ça suffit ! Tu dépasses les bornes ! »
'aimais était sur le point de me frapper, pour la protéger elle. La prise de conscience m'a frappé
nte. « Vas-y ! Fais-le ! Parce que rien de ce que tu pourras
puyée contre son épaule, un léger sanglot s'échappant de ses lèvres. « Maxime, non
it tout ce qui c
me maintenant. « J'en ai fini. J'en ai fini avec toi, Ma
éfinitifs. Les yeux de Maxime se sont écarquillés, une
blement dans sa voix. « Ne sois pas absurde. Tu es just
. « Ce n'est pas quelque chose sur quoi je vais 'dormir'. C'est fini. Tu l'as choisie elle. T
artir ? Après tout ? Après ce que j'ai fait pour toi ? » Il a fait un geste vague vers ma prothèse. « Qu
s resté à mes côtés par culpabilité, Maxime ! Pas par amour ! Et je t'ai sauvé la vie ! J'ai
dans mon flanc s'est intensifiée, une douleur viscérale se p
fais qu'empirer les choses pour toi en ce moment. Tu dois te calmer. » Ses yeux, cependant, contenaient une lueur triomphante. « Tu ne compr
mes entrailles. Une autre mort ? Elle voyait la mort potentielle de Julie
torpeur. « Hélène, je te l'ai dit, le cœur est parti. Il est déjà utilisé. Tu dois pa
thme écœurant. J'ai reculé, ma prothèse s'accrochant au bord d'un tap
étant une prière désespérée. « J
é s'accrochant à son bras, un air suffisant sur le visage. L'imag
t Maxime vers les ascenseurs. « Les médecins doi
rd en arrière, un sourire narquois jouant sur ses lèvres. Ses
n rampant, ignorant la douleur lancinante, ignorant la façon dont ma prothèse prote
r. Mes supplications désespérées se sont dissoutes en sanglots brisés. J'ai regardé, impuissante, les portes de l'ascenseur se refermer,
le. « Non ! Non ! NON ! » Le mot m'a déchirée, un cri primal de
ait être un poids mort. J'ai tripoté les sangles, essayant de la fixer, les larmes coulant sur mon vi
a émergé du même ascenseur que Maxime venait de prendre. C'était Chloé, seule cette fois. Elle a marc
s chargée de venin. « Je pensais que tu aurais eu le
« Espèce de démon. Espèce de démon absolu. Rends-moi ce cœur, Chloé. Je t'en supplie. Que veux-tu
s'est penchée près de moi, son souffle chaud sur mon oreille, sa voix tombant à un murmure. « Tu sais, ce qui est drôle, c'est que le c
si puissante qu'elle menaçait de me consumer. Un accord commercial ? L
ec un bruit sourd et écœurant. La force de mon coup l'a envoyée s
se tenant le visage. « Salope