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Sa trahison, son cœur en miettes

Chapitre 4 

Nombre de mots : 1295    |    Mis à jour : 18/12/2025

ène

eau en bois serré dans ma main, me sentant comme un fantôme hantant mon propre deuil. Un mouvement a attiré mon attention, un éclair de co

xi

r frivole, semblait obscène contre le décor sombre. Mon souffle s'est coupé. Comment osaient-ils ?

fugace de surprise, rapidement remplacé par un resserrement de ses

antanément crispée. Une rougeur sombre s'est répandue sur son visage, et il s'est dirigé vers moi d'un pas décidé

m'atteignait. Il a attrapé mon bras, ses doigts s'enfonçant dans ma peau, me tirant bru

de sa prise n'était rien comparée à la blessure fraîche qu'il infligeait ave

fureur irrationnelle. « Tu as causé trop de problèmes, trop de drame ! Si tu av

bouleversée. Mais elle se donne en spectacle. C'est tellement irrespectueux envers la pauvre Julie. » Elle m'a jeté

ctes de cette tragédie, et ils osaient m'accuser ? J'ai arraché mon bras de l'emprise d

fureur contenue. « Vous l'avez assassinée ! Tous les deux

assassinée ? Dans quel fantasme tordu vis-tu, Hélène ? Et qu'est-ce que tu fais ic

ement égoïste. Excuse-toi d'avoir rendu ses derniers jours si difficiles. » Il a attrapé mes épaules,

le. L'humiliation, chaude et brûlante, m'a submergée, mais elle a été rapidement éclipsée par une prise de conscience glaciale. Il n'était pas seulement un mo

mais empreinte d'un acier nouveau. « Pas à toi. Pas à elle.

ierre tombale froide. « Tu te crois forte, Hélène ? Tu crois que tu peux me parler comme ça ? » Sa voix était un gr

onde en une toile aqueuse de gris. Le froid s'est infiltré dans mes os, se mêlant à la douleur dans ma tête et mon abdomen, la douleur sourde

Pardonne-moi. Pardonne-moi de l'avoir

urinement de la pluie. Elle a tiré sur sa manche, ses cheveux parfaits maintenant plaqués

it. Les sangles se desserraient, la connexion s'affaiblissait. Une douleur aiguë et gr

nnant en moi. J'ai aimé cet homme. Je lui ai tout donné.

que je pensais. Il était un vide. Une coquille vide et cruelle. Mon amour pour lui avait été un mensonge, un mensonge magnifiq

ent pris au dépourvu. « Tu crois que tu peux rester là et te moquer de moi ? » ai-je hurlé, ma voix rauque, complètement déséquilibrée. « Tu cro

reculé instantanément, me repoussant avec une force surprenante. J'ai perdu l'équilibre, ma prothèse

teau, tombant dans la boue à côté de moi. C'était le petit oiseau en boi

ulgurante, ignorant la façon dont ma tête tournait. Je devais le

ue je ne puisse l'atteindre. Il s'est redressé, ses yeux tombant sur la petite sculpture maculée de boue

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