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Sa trahison, son cœur en miettes

Sa trahison, son cœur en miettes

Auteur: Gavin
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Chapitre 1 

Nombre de mots : 2599    |    Mis à jour : 18/12/2025

seuse étoile était finie, mais ma mère mourante avait obtenu une gr

r. Lui et sa maîtresse l'on

est

mur. La chute n'a pas seulement fait voler mon monde en éclats

, il m'a pris ma

n sang, j'ai regardé l'homme pour qui j'av

ras jusqu'à ton

rcé et j'

l m'a retrouvée. Un homme

ns les yeux et je lui ai

seconde chance p

pit

ène

d'autre, laissant Julie dépérir. Mon souffle s'est bloqué dans ma gorge, un son rauque et désespéré que je peinais à reconnaître comme

rs et de supplications. Mes mains, tremblant de manière incontrôlable, se sont agrippées à la ves

ureté inconnue. Il s'est dégagé, son mouvement subtil mais ferme, coupant le dernier lien phy

on sincère. C'était le même ton qu'il utilisait pour écarter une acquisition r

oix a grimpé, craquant d'incrédulité. « Ce cœur était pour Julie ! Le dernier cadeau

indigne de toi. » Il a jeté un coup d'œil autour du couloir désert de l'hôpital, comme s'il craignait que quelqu'un

avait passé ses derniers jours à s'assurer que Julie vivrait. Elle avait trouvé un donneur, sécurisé la compatibilité, tout orchestré,

résonnant contre les murs silencieux. « C'était le dernier vœu d

neste. Je devais trouver l'administrateur de l'hôpital, les médecins, n'importe qui qui voudrait bien écouter.

e ça ? » a-t-il exigé, s

mon bras. « Je vais les forcer à le rendre ! Julie

à réparer. Le cœur est en cours de préparation pour son receveur à l'heure où nous par

s. Je l'ai fixé, vraiment fixé, comme si je le voyais pour la première fois. L'homme que j'avais aimé, l'homme que j'avais épo

le. « Tu te fiches que Julie soit en train de mourir. Tu te fiches que le dernie

nt remplacée par son masque habituel de dédain. « Ne sois pas ridicule, Hélène. Je me soucie de toi

Il m'a rappelé d'innombrables autres fois où il avait rabaissé mes sentiments, tordant ma réalité jusqu'à ce que je dout

sœur est dans cette chambre, en train de s'éteindre, et tu qualif

nné derrière lui. « Est-ce que tout va bien, mon chéri ? Tu sais à quel

. Bie

de créateur impeccable. Elle se déplaçait avec une grâce sans effort qui se moquait de mon propre corps brisé. Elle

fait ses yeux. « Tu as l'air... mal en point. Tu devrais vraim

lle à Maxime. « De quoi vous occupez-vous exactement, Chloé ? Vous a

é, un son léger et tintant. « Hélène, ma chérie, ne sois pas si dramatique. C'est une simple et

lgurante dans mon flanc. Je l'ai ignorée. « Vous appelez ça une confusion quand vous manipulez

, ça suffit ! Tu dépasses les bornes ! »

'aimais était sur le point de me frapper, pour la protéger elle. La prise de conscience m'a frappé

nte. « Vas-y ! Fais-le ! Parce que rien de ce que tu pourras

puyée contre son épaule, un léger sanglot s'échappant de ses lèvres. « Maxime, non

it tout ce qui c

me maintenant. « J'en ai fini. J'en ai fini avec toi, Ma

éfinitifs. Les yeux de Maxime se sont écarquillés, une

blement dans sa voix. « Ne sois pas absurde. Tu es just

. « Ce n'est pas quelque chose sur quoi je vais 'dormir'. C'est fini. Tu l'as choisie elle. T

artir ? Après tout ? Après ce que j'ai fait pour toi ? » Il a fait un geste vague vers ma prothèse. « Qu

s resté à mes côtés par culpabilité, Maxime ! Pas par amour ! Et je t'ai sauvé la vie ! J'ai

dans mon flanc s'est intensifiée, une douleur viscérale se p

fais qu'empirer les choses pour toi en ce moment. Tu dois te calmer. » Ses yeux, cependant, contenaient une lueur triomphante. « Tu ne compr

mes entrailles. Une autre mort ? Elle voyait la mort potentielle de Julie

torpeur. « Hélène, je te l'ai dit, le cœur est parti. Il est déjà utilisé. Tu dois pa

thme écœurant. J'ai reculé, ma prothèse s'accrochant au bord d'un tap

étant une prière désespérée. « J

é s'accrochant à son bras, un air suffisant sur le visage. L'imag

t Maxime vers les ascenseurs. « Les médecins doi

rd en arrière, un sourire narquois jouant sur ses lèvres. Ses

n rampant, ignorant la douleur lancinante, ignorant la façon dont ma prothèse prote

r. Mes supplications désespérées se sont dissoutes en sanglots brisés. J'ai regardé, impuissante, les portes de l'ascenseur se refermer,

le. « Non ! Non ! NON ! » Le mot m'a déchirée, un cri primal de

ait être un poids mort. J'ai tripoté les sangles, essayant de la fixer, les larmes coulant sur mon vi

a émergé du même ascenseur que Maxime venait de prendre. C'était Chloé, seule cette fois. Elle a marc

s chargée de venin. « Je pensais que tu aurais eu le

« Espèce de démon. Espèce de démon absolu. Rends-moi ce cœur, Chloé. Je t'en supplie. Que veux-tu

s'est penchée près de moi, son souffle chaud sur mon oreille, sa voix tombant à un murmure. « Tu sais, ce qui est drôle, c'est que le c

si puissante qu'elle menaçait de me consumer. Un accord commercial ? L

ec un bruit sourd et écœurant. La force de mon coup l'a envoyée s

se tenant le visage. « Salope

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