La perverse cruauté de mon frère
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ayé pour un crime que mo
ruinée, alors j'ai tout enduré pour lui :
suicide, j'ai surpris une conversat
édie. C'était une « leçon », orche
la familiale, en pleine fête so
e de drama qu
je suis tombée. Il a avoué qu'ils avaient fait le to
'enfer avaient ét
jeu pervers pour m'
e lui donner une der
ang dans mon appartement sordid
ix s'éteignant. « Est-ce que la p
pit
ue de Cami
a mort est u
rutale d'une punition que
n'avait pas commis, payant pour sa « détention » à cha
lles n'ont j
des rats morts
OPE » sur la por
oulot que je dégotais disparaiss
écrasant de la solitude... tout ça m'a vidée de ma subst
j'ai essay
is, j'ai
les pilules que j'ai pu trouver, dés
ce qui m'enveloppait, quand une voix, tran
ne d'Antoine. Sa voix é
qu'on a fait, Antoine
a voix de mon frère,
çon, Élodie. Elle avai
nt frappée d
to
en p
ru
ait qu'un
a conséquence de sa chute.
j
un jeu
st comme ça qu
, qui m'a laissée affamée,
'allais lui en donner une
ntre sa «
ient effet. L'obs
je n'allai
Dieu avec ma vie, de me regarder me
odie, avec une satisfaction cruelle. « Après ce
ement que j'apprenne. Ils
ai cr
mais maintenant elle était plus v
t a-t-
ère, A
ait promis d
-t-il pu
e, mais elle résonnerait plu
rait sa le
x de s
. « Personne ne saura jamais que c'était nous. C'
le i
t ce que j'ai appris, c'est à quel point l
hapitre, le point d'orgue dév