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Trahie par son Mari, Sauvée par son Sang

Trahie par son Mari, Sauvée par son Sang

Auteur: Gavin
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Chapitre 1 

Nombre de mots : 1197    |    Mis à jour : 10/12/2025

er mon héritage. Ce soir-là, dans son costume italien sur mesure, il jouait s

Quand le fils de sa maîtresse a violemment poussé notre fill

garçon qui l'avait blessée. Devant tous nos associés, il a humilié Lily, la tra

vert que la pourriture allait bien plus loin : il saignait nos comptes pour financer le train de vie de sa putain, mett

u'il n'était qu'une marionnette dont je tenais les fils depuis le début. Il a oublié que

nd livre noir des dettes de sang. J'ai composé le numéro de

temps de netto

pit

na

sonna le glas de mon mariage, résonnant avec une violence bien p

s la scène comme on contemple un accident de voiture au ralenti. William, mon mari, l'homme que j'avais moi-

associés que j'avais validés, et buvait le vin produit par les vignobles de ma famill

é. Il n'était qu'une marionn

e. Elle courait vers son père, ses petits yeux brillants d'un espoir naïf, ignorant la comp

déchira l'amb

Au-dessus d'elle, Luca, le fils de sept ans de Serena, se tenait là, un sourire s

esoin d'attention. Elle ne se précipita pas vers Lily, mais vers Luca, le plaçant derrière el

a fille, qu'il essuie ses larmes, qu'il réprimande le garçon qui l'avait blessée. C'était le test ultime.

Son visage s'assombrit

uffisamment forte pour porter jusqu'aux invités les

Une douleur aiguë, physiqu

egard brisé, ses lèvres

doucissant instantanément. Il posa une main protectrice sur l'épaul

our humilier ma fille devant le Tout-New York. « Ne

uiconque, tournèrent leurs regards vers moi. Je sentais leur pitié, leur mépris. William ne venait pas seulement de choisir s

it, remplacée par une compréhension trop mature pour son

inta contre la table, un son cla

'ignorai William. J'ignorai Serena. Je me penchai et soulevai Lily dans mes br

Il ouvrit la bouche pour parler, probablement pour m'ord

eux. Plus de déception. Il n'y avait q

gard pour sourire à Serena, comme si je n'existais pas. Com

ervir ma famille et de me respecter, se superposa à celle de l'hom

j'avais épousé n'était plu

fille vers la sortie. William ne nous suivit pas. I

in agrippant ma robe. Je la dégageai doucement et me dirigeai vers le bureau de

. J'en sortis le grand livre noir, celui que seuls le

mposai le numéro de Marco,

épondit-il, s

dénuée de toute humanité. « Il e

dre son sourire carnassi

ompris,

couverture en cuir du livre.

ir qu'il n'était

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