Le Parfum De Ma Vengeance
ine
revendiqué mon laboratoire maternel, était étouffant. Le lit de camp grinçait sous mon poids, et l'air était vic
Je devais finir de préparer mes affaires, celles que j'avais pu sauver. Je m'étais levée, les muscles endolor
ses, était fendu. Au centre, sur ce qui avait été l'autel de ma mère, où je déposais chaque jour une fleur fraîche en hommage, il n'y avait plus rien. Les pétales de rose que j'avais cueillis
jamais ressentie. Mes mains s'étaient serrées, mes ongles s'enfonçant dans ma p
, adossée au mur, un sourire triomphant aux lèvres. "Qu'est-ce que
savais pas que tu étais là. Et puis, qu'est-ce qui est sacré là-dedans ? C'est juste un
ue. Tu as tout détruit. Pas seulement mon travail, mais aussi la mémoire de
u me fais peur !" Elle avait trébuché, entraînant dans sa chute un petit pied de tabouret, la faisant tomber lourdement. Un cri s
llés, le miroir brisé. "Regarde ce que tu as fait ! T
réussi à la rendre dramatique. Elle avait même simulé un nettoyage des pétales de rose, comme
é. La coupure sur sa joue, le tabouret qu'elle avait elle-même déplacé, les péta
blême, m'avait fixée, puis s'était précipité vers Précill
Aveline ! Qu'est-ce que tu as fait encore
eur. Précilla m'avait jeté un regard triomphant, un petit rictus de victoire. Elle avait ga
s effondrée sur le lit de camp, épuisée, mes larmes refusant de couler. Une apathie totale s'était emparée de