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L'Autel, Les Mensonges, Sa Pénitence

Chapitre 3 

Nombre de mots : 1182    |    Mis à jour : 08/12/2025

ue d'Élise

d'habitude. Mes parents, désespérés de sauver la face et cette all

ma mère, sa voix dénuée de chale

t d'un fiancé que j'avais secrètement désiré toute ma vie. Cela ressemblait à une blague cruelle, un conte d

mariée, ou choisissait de l'ignorer. Sauf Côme. Il savait. Je pouvais le voi

ille de Côme, guindée et propre sur elle, maintenait des sourires polis. Côme lui-même était un fantôme, parlant à peine, le regard loint

terrasse, baigné de clair de lune. Ma conscience, une petite voix

un murmure. Je sais... je sais que j

ement, les mots a

ends. Je ne veux pas te piéger. Je ne veux pas

à cet aveu, le fragile

regarda vraiment, pour la première fois depuis l'annonce des

et stable. J'ai donné ma parole

as de plus, et mo

n mari. Je prend

ont j'ignorais l'existence. Mon cœur, petit oiseau en cage, battit follement. Mariage. Le mot, autrefois si lointain, scinti

ma langue, mais je ne pouvais pas les expulser. La peur, ou pe

de sa peau m'envoya une décharge électrique. Pendant une seconde fugace, je fus transportée s

e me trahirait jamais. Je m'accrochai à cette conviction, oubliant que ma connais

lanche et d'arrangements floraux. Je choisis chaque détail, mon cœur rem

omme un ouragan, ses cheveux habituellement immaculés en désordre, un bleu fleurissa

Elle passa une main sur le tissu scintillant, les yeux durs. Puis elle repéra le délicat brace

ricana-t-elle, la voix dégoulinante de mépris. D'abord

nflamma en moi. Cinq ans d'endu

ma voix tremblante. Tu l'as jeté. Et c'est mon

, les yeux plissés, une

gné ? Tu penses pouvoir garder quelq

a dans un mu

taines choses sont s

on résonna dans la chambre silencieuse. Une marque rouge fleurit sur

visage. Puis, un hurlement th

pa ! Élise m

le choc et la fureur. Ma mère se précipita vers Camille, la berçant comm

ta net dans l'encadrement de la porte, son regard fixé sur Camille, sanglotant dramatiqueme

aidirent. Son visage se vida de ses couleurs. Il bougea, non pas v

anda-t-il, la voix basse,

n'étaient qu

ieuse, me peignant comme l'agresseur, la sœur jalouse. Camille, sentant

ient remplis d'une inquiétude désespérée. Il te

a fa

t guttural que je n'avais

geignit Camille, enfouissa

esserrèrent a

al. On va signale

igés directement contre moi, la femme qu

tête nichée contre son épaule, il ne reconnut même pas mon existence. Je restai là, baignée dans la lumière crue du lus

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