Un amour vicié: Le goût amer de la trahison
vue d'Ali
, un rire amer s'échappant de mes lèvres. «
inébranlables. « C'est pour ton bien, Alix. Tu
suis-je simplement gênante ? Suis-je simplement en train d'ex
ours blottie sur le canapé, son visage enfoui dans ses mains. « Ambre, j'ai
vée, connue pour ses programmes de « réhabilitation ». Un endroit où les diss
r, leurs visages impassibles, leurs mouvements rapides et dé
débattant contre leur emprise. «
ue d'inquiétude détachée. « C'est pou
n brut, brisé. « Je ne te confierais mê
ans le couloir vide. Ambre, son visage pâle mais ses yeux br
elle dit, sa voix un faible ronro
e qui attendait. La dernière chose que j'ai vue, c'est son expression conflictuelle, une lueur de quelq
me suis débattue, je me suis battue, j'ai maudit, mais c'était inutile. Les infirmiers étai
te qui ressemblait plus à une forteresse qu'à un sanctuaire de guérison. Les porte
tre chose, quelque chose de métallique et de troublant. Une infirmière, son visage dénué d'émotion, m'a attachée
ent d'une satisfaction prédatrice, un sourire cruel jouant sur ses lèvres. Dans sa main, elle
é, sa voix dégoulinant de venin. « On dirait
ar électrochocs. Elle allait ess
rondé, ma voix rauque. « Tu peux essayer tout c
laçant. « Oh, on verra ç
uleur atroce a traversé mon corps, mes muscles se convulsant, ma v
me, presque clinique, « dis-moi, Alix. T
e défiance désespérée. « Il est
ouleur était insupportable, une agonie
té, sa voix inébranlable, « est-
r mon visage, se mêlant à la sueur et à la do
Oh, Alix. Tu es si têtue. Mais nous avons tout
t, d'effacer mes souvenirs, de briser ma volonté. Mais j'ai tenu bon. Je me suis accrochée à la vérité, au souvenir de la
jailli dans mon esprit. Je devais jouer son jeu. Je devais l'e
D'accord, Ambre. Tu as gagné. Je... j'avoue. Mon père.
est penchée plus près, son visage rouge de victoire. « Bien, Alix. Très bie
e défaite, se prélassant dans s
tri. D'un coup de pied soudain et explosif, j'ai lancé mon pied en avant, la frappant en plein dans la poitrine.
étais plus rapide. J'ai utilisé l'élan, me tordant sur la chaise, et je me suis libér
ttant, l'adrénaline coulant dans mes v
reprenant ses esprits, son visage
s un flou de mouvement. J'ai attrapé Ambre, qui chancelait e
ma voix rauque, une force désespérée
Ambre, prise au dépourvu,
t-elle crié, sa voix charg
ille, un sourire glacial touchant mes lè
ant la distance. Nous étions au troisième étage
lie d'une résolution froide et désespérée. « Mon père. M
a volé en éclats avec un fracas assourdissant, nous arrosant d'éclats. Un d
le vent rugissant à mes oreilles. J'ai fermé les yeux, une