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Quatre-vingt-dix-neuf lettres, mille mensonges

Chapitre 8 

Nombre de mots : 2194    |    Mis à jour : 18/11/2025

ue d'Aubre

te sombre près du mur. Je ne pouvais pas distinguer son visage, mais le clic de l'obturat

encore à mon système comme un linceul suffocant. Mes membres étaient de plomb. Mes pensées, lentes. J'ai essayé de m'él

ouvait pas être aussi cruel. Aussi monstrueux. Il viendrait. Il arrêterait ça. Il me sauverait. Mon es

Thorne. Vers Jonna. Vers le sauvetage. J'ai fouillé mes poches. Vides. Ils a

ésespoir écrasant. C'était primal. La peur brute d'être entièrement à la

petite boîte à musique ornée sur une table voisine. À l'ancienne. Dépla

rcle a grincé en s'ouvrant. À l'intérieur, niché sur du velours, se trouvait un téléphone à cl

t composé le numéro de Cooper. Mon souffle s'est bl

. Puis, une voix pâteuse et en

oper. Ivre

dois m'aider ! Je suis à la fête. Dans une pièce privée. Il y

bureau. À être une gentille fille. Et je suis à la fête. Avec Kennedy. En train d

iffant la gorge. « Je ne suis pas dans le bureau ! Ils m'ont a

tention ? C'est encore Kennedy ? Pourquoi es-tu toujours si obsédée par elle, Aubrey ? » Sa voix a pris un ton cruel. « Et qui se soucie d'une

as comprendre le danger. Son esprit était

ieux ! Je ne sais pas qui est cette femme, mais elle est d

e qui a essayé de voler l'héritage de Kennedy ? Tu crois que je vais te croire, Aubre

mes sont finalement venues. Chaudes et amères.

de la ligne. une malédiction étouffée. Puis l

rauque. Pas de réponse. Seulement le faibl

bsolument glaçante. « Oh, Aubrey. Toujours ac

nn

é. « Kennedy ! Q

ceté. « Tu devenais une nuisance. Une complication. Et je ne tolère pas les c

é. Ma voix tremblant d'horreur. « Tu as dro

ne femme inconsciente et droguée. Un scandale pour les tabloïds. Une excuse parfaite pour que Cooper te

oir s'accrochant à mes mots. « Quand il sera so

e pour ça. Parce que je le pousse. Parce que je suis ambitieuse. Contrairement à toi. Toujours si vertueuse. Si ennuyeuse. » Sa voix s'e

ue ? » Une terreur glaciale s'est enroulée autour

e joie glaçante. « Un accident de voiture. Une chute. Une noyade. Ça n

taine et étouffée, a soudainement percé. « Kenne

Chéri ! Rien ! Juste... juste un mauvais numéro ! » Elle a ri. Un son f

llait me tuer. Elle allait faire passer ça pour un accident

rochant. La silhouette sombre du coin. Et une autre.

st glacé. C'

de résistance. Ils m'ont tirée vers la porte. Puis, ils ont at

. L'air de la nuit, froid et humide, m'a frappée comme un choc. Une camionnette noire attendait. S

ondi contre le siège dur. La femme inconsciente g

rey. Tu m'as toujours appartenu. Il ne voulait pas seulement

. Il me sauvera. Quelle naïveté. Il ne venait pas. Il était tr

irage soudain et violent. Puis, l'odeur

tée. L'eau sombre et tourbillonnante en dessous. Je pouvais entendre le clap

la fin

Mais mon corps me lâchait. Mon esprit, engourdi de terreur e

e l'obscurité d'encre. La femme inconsciente, un poids mort, était

a main de ma grand-mère. Le rire de Jonna. La sensation de la pluie douce sur mon v

ares. Éblouissants. Perçant l'obscuri

ne voix. Profon

e. Un SUV noir et élégant. Il a dérapé jusqu'à l'arrêt.

lueur d'espoir impossi

é un des hommes.

ef de la sécurité de la famille Olsen. Maître

d du gouffre. La femme inconsciente a été rapidemen

musclé. « Tu es en sécurité maintenant, Aubrey », a murmuré une voix p

nd-père. Ma vraie famill

rmes, non plus de désespoir mais de soulagement brut, o

de me noyer ont été rapidement

solide dans la tempête déchaînée. Il était plus grand que Cooper. Plus

d'ici », a-t-il dit. S

tête. Ma voix

je réussi à croasser.

. « Juste un sédatif puissant. Nous

équipe se sont déplacés avec une efficacité silencieuse. Ils ont récupéré mes quelques affaires emballées.

essemblait à une scène. Mon dernier acte. J'ai laissé mon alliance sur la table de cheve

is. La femme qui avait aimé Cooper Mcknight. Cette femm

eur. Je quittais le pays. Laissant derrière moi les morceaux brisés de mon ancienne vie.

t émouvante. Guillermo Olsen, un homme d'un immense pouvoir, m'a regardée avec des lar

sique. Isaac, toujours présent, est devenu mon ombre. Mon confident. Mon protecteur. Il

placé par une détermination féroce et inflexible. Cooper et Kennedy avaient essayé de m'

n. La véritable héritière. Et je démantèlerais leurs vies. Pièce par pièce douloureuse. I

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