Enceinte d'un Mafieux
vait toujours caché : ces clients n'étaient pas de simples hommes d'affaires. C'étaient des types de l'autre côté de la
acile, ajouta Faith.
c'était la routine. Pour moi, un cauchemar. J'essayai d'y cr
les fille
noir impeccablement taillé s'avança. Grand, large d'épaules, la peau mate, le regard
ena. Évidemment q
il, t'es pas censée
ui, manifestement, savait qui j'étais. Peut-être parce qu'il surveillait toutes les filles
, balbu
osa une main su
Relax. Je suis là p
nt, mais la mention de son
na, c'
un sourire forcé. Oui,
t deux frères Lamberti, entrer et s'installer autour d'une imm
? dema
nt, presque une supplication mu
er, ni même de t'approcher. Bizarr
m'interdire ça ? Avant que je ne t
. Enzo l'a remplacé
c en riant doucement. B
Parfait. Tout ce que je voulais, c'était disparaître. Je suivis les filles sans poser
m'attrapant par le short pour
cirque, juste du service, mais je me sentais ridicule. J'essayai de tr
e présence me donna un peu d'air. Mais quand Christian s'installa, tout le monde se tut. Même sans connaître son nom, j'aurais deviné
on, murmura Faith. Tu
sitôt les yeux.
n ? lança un homme en riant. Lucio a perdu la t
an ne broncha pas. Il se con
dit-il simplement. Alors
renais pas. Je m'ennuyais à mourir, le bras tétanisé par le poids du platea
passer, glissa Faith avec
a tête, san
! ordonna Gio Lam
un coup disc
t toi,
ne rien laisser paraître. Je remplis les coupes une à une, priant pour ne rien renverser. Tout allait b
, tout de suit
tai, la g
monsieur, balbutiai-je,
main et me retint dou
l avec un petit rire.
avec un sourire franc et une expression presque amusée. Son regard a
me retournai vers lui, posai sa coupe devant lui sans un mot. Il sai
uffla-t-il à
prise, je me dégageai rapidement et fis un pas en
huchota-t-elle qua
La réunion n'en finissait pas. Je jetai un regard furtif vers Christian, puis vers l'homme
s qu'ils connaissent même mon prénom. Tout ce
J'attendis qu'ils quittent la salle avant d'oser respirer
e pas être malade ? d
de Christian. Il posa une
dis-je en me r
arc en plaisantant. Je me su
les se rapprochaient d'eux. J'aperçus Christian près
ne les filles. Jo
e hausser la voix. Tout
l'heure, lança Marc en no
vec une seule pensée en tête : ne
manger, hein ? demanda F
debout. Mon estomac criait famine, mais je ne pouvais pas me permettre de m'arrêter. Pas
juste un peu stressée, c'
que, puis haussa les épaules et p
excuse pour avoir manqué le boulo
'étaient rapprochés, échangeant quelques mots bas, comme des complices. C'était étrange de voir Christian sourire, lui qui d'ordinaire avait toujours cet air froid et distant. Ce