Le Remplacement par une Remplaçante Enceinte
e vue d
rive dans un lo
ort accidentée, une entaille sur son front saignant abondamment, sa jambe pliée à un angle contre nature. Il était Maxence Roche, le dieu intouchable de
t aux médecins sans hésitation. « Prenez-en autant que vous en avez besoin. » Il m'a dit plus tard, ses yeux sombres et intenses, que mon sang coulait mainten
venir mes macarons parisiens préférés tous les jours, il m'a écrit des poèmes à la fois maladroits et d'une sincérité à couper le souffle. « Ma vie éta
teur fut remplacée par la gueule grondante du tigre. Le souvenir de son vœu de ne jamais me laiss
le son me tirant de
bre et humide. L'air sentait le sel et la décomposition. Mes mains étaient attachées derrièr
roide et aigu
veillée », ricana une voix gravel
Elles se ressemblent presque comme deux g
son rythmé des vagues s'écrasant contr
nce Roche a ruiné ma famille. Il nous a acculés, a forcé mon père à la faillite. Mon père s'
e marmonner avec mépris. Un rival commercial impit
formée par un haut-parleur, em
oi. Elles n'ont rien à voir avec ça. » Sa voix était
is elles ont tout à voir avec ça, Roche. Tu vo
Camélia, qui gémissait et se débattait à côté de moi. On nous traîna en avant et on nous poussa
endis le hoquet rauque de Maxenc
ronda-t-il, chaque mot une
haque dix secondes que tu retardes le transfert des actions de la société, tes
es blessures ouvertes sur mon épaule. On me remonta, crachant et haletant, seulement pour être jetée à nouveau. Et encore. L'eau était un poing brut
ou et tremblant, j'entendis la voix désespérée de Maxence à travers le ha
t dire. Tu ne peux en sauver qu'une de la prochaine manche. Alors dis-moi, Maxence. L
respiration haletante – tout s'estompa. Il n'y avait que le sifflement st
oi
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