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Le Remplacement par une Remplaçante Enceinte

Chapitre 2 

Nombre de mots : 1694    |    Mis à jour : 04/11/2025

e vue d

es agents de sécurité se précipitaient pour contenir l'incendie que j'avais déclenché, je me suis glissée hors de

remblante. Mes doigts, maladroits par manque d'habitude, tâtonnèrent avec les pièces. Il n'y avait qu'une seule personne au monde qu

ule sonnerie, perçant le grésille

lai-je, ma voix

onnaissable même après cinq ans. Elle contenait une chaleur dont je n'av

o... tu m'as dit un jour que si j'avais besoin de quoi que ce soit, si jamais je voulais revenir...

m'a manqué. » L'émotion brute dans ses mots contrastait vivement avec le pragmatisme

situation... est compliquée. Mon identité a été... compromise. Il fa

. C'était le Dario dont je me souvenais, le magnat de la mode dont l'influence s'étendait sur des continents. « La seule chose qui compte

courir un frisson. « Je sais. C'est pour

e un instant. « Élia, qu'

an se formant dans mon esprit avec une clarté glaçante. « C'est le seul moyen pour

m'enveloppa par-derrière, me tirant dans une étreinte dure et dé

e contre mes cheveux. « Dieu merci. J'ai cru que je

esque douloureuse. Il me tenait comme si j'étais la chose la plus précieu

it comme un fou, Élia », dit Marc, sa voix tremblante. « Il a couru dans les flammes en

ussi, ses cheveux brûlés aux pointes. Des brûlures rouges et furieuses cloquaient sur le dos de ses mains et son cou. Il avait l'air

es

énèbres ? Comment cet amour désespéré et tremblant pouvait-il coexister avec une trahison si froide et calculée ? La contradiction étai

que j'allais flancher, une voi

xenc

n fantôme – les mêmes cheveux sombres, les mêmes traits délicats, mais ses yeux... ses yeux étaient différents. Ils n'avaient rien du

n étreinte disparaissant comme si elle n'avait jamais existé. Il fit un

x tendue. Il se retourna vers moi, ses yeux suppliants

si flagrant, si insultant, q

ements complexes avec ses mains. La langue des signes. Mon sang se glaça. C'était un langage privé que Maxence avai

notre langu

e n'avais pas besoin de la parler couramment pour comprendre le sens.

re, d'une douceur à couper le souffle, touchant

oix emplit le silence, douce et mélodieuse. « Il donne des coups ! Maxence, il donne des coups ! » Elle baissa les ye

vions choisis ensemble. Les noms

sous ses ordres stricts de ne pas le déranger, n'avait pas appelé de médecin pendant des heures. Quand ils l'ont fait, il était trop tard. J'avais fait une fausse couche, seule dans ce château froid et

enfant avec ma remplaçante, utilisant les noms

creux et résonnant. Il n'était pas compliqué. Il n'était pas déchiré. Il était simplement un homme qui était passé à autre chose. Son amour, autref

laissée dehors

e sincère. « Retournons dans ta chambre. Tu as besoin de te reposer. J'ai engag

férente. « C'est un plaisir de vous

Madame Roche. Pas Élia. La rétrog

einte amoureuse, me parut maintenant un linceul. Il me guida, son bras autour de ma taille, t

leins d'une douceur domestique que je n'avais jamais vue. Lui, qui avait une éq

ra-t-il, sa voix un grondement bas et

tardant sur sa joue. Il la traitait non pas comme une œuvre d'art inestimable à admirer de loin,

l'arôme riche et savoureux. «

la sienne à Camélia, soufflant dessus d'abord pour la refroidir, ses yeux r

e cendre. Mes yeux étaient secs. Mon c

imait. Il l'aimait v

devais anéantir complètement et totalement la femme qu'il pensait que j'

e faisait q

-

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