Fuir l'alpha, porter son héritier
itre
d avec difficulté, les lèv
, murmura-t-elle, la voix incertaine,
sonnant dans le silence, jusqu'à se tenir devant elle. Ses doig
on fragile, elle se hissa sur la pointe des pieds et, les paupières closes, effleura ses lèvres des siennes. Ce fut un baiser à pein
Ses prunelles violettes, pleines d'une malice
. On dirait que tu découvre
s sa chevelure sombre, et la pointe
.. tu es trop grand, bre
se pencha aussitôt, réduisant la distance entre eux jusqu'
il d'un ton calme, mais son reg
, répondit-elle
n'ajoute quoi que ce soit, ses mains glacées se refermèrent sur sa nuqu
aisit contre lui, son corps sculpté épousant le sien, et la serra jusqu'à sentir son cœur battre contre sa poitr
pour la capturer. Amélie céda sous l'intensité du con
se refermèrent instinctivement autour de sa taille, son corps tremblant d'émotion. Ses doigts s'enfo
ourdie par le feu qu'il allumait en elle. Chaque frôlement de s
ans rompre leur baiser, et la déposa doucement sur les draps. L'air lui manquait lorsqu'il se redressa un instant, leurs
ud céda lentement, dévoilant un pan de peau pâle qu'il frôla
l s'arrêta. Son regard la parco
manda-t-il, l
dit-elle, presq
vourant le son de chaque sy
cé par une concentration obscure. Ses doigts glissèrent lentement jus
se, murmura-t-il, se
este précis. L'air frais caressa sa peau nue. Amélie, prise de panique
, sa voix grondant dans le silence.
omment pouvait-il percevoir encore la trace d'Al
abriel se fit
mple loup, Amélie. Qui
brute, celle d'un prédateur qui vena