Fuir l'alpha, porter son héritier
itre
boue éclaboussant ses jambes nues, la tempête hurlant comme pour couvrir les battements frénétiques de
êlés aux bruits de pas lourds qui frappaient la terre détremp
ne fois rejetée, elle serait enfin libre. Quelle ironie c
nçait dans une ruelle étroite. Elle s'y adossa, le dos plaqué co
une voix grave, moqueuse, to
voix répondi
enfant. Ce n'e
se glaça. Ils sav
nt sur son ventre, comme pour proté
ha, répliqua sèchement le prem
erreur la trave
er jusqu'à la trac
. Elle quitta la ruelle à pas feutrés, puis se mit à couri
quelqu'un de
tte massive d'un loup surgir de l'obscurité. Les cr
vers une lueur au bout de la rue : deux hommes,
échir, el
d'un manteau sombre. Elle se jeta contre lui, s'accrocha
n supplie,
homme la regarda sans un mot, son e
mots s'échappèrent de sa bouche avan
hez av
nt. Mais elle savait ce que cela signifiait dans leur monde : s'unir
lante. Elle pouvait sentir, même à travers le tissu trempé, la chaleur qui émanait de
e d'une voix étranglée. Laissez-
runelles étaient d'un violet presque irréel, profondes comme une
celui au paraplui
r, peut-ê
ire taire aussitôt. Une simple lueur dans ces yeux vi
a alors, grave, calme, d'
tenir, à répondre à mon d
cune ambiguïté. Ce n'était pa
la tête san
voulez. Mais je vous e
le passa entre eux, av
le-moi
lle fit vaciller le monde autour d'elle. Elle sentit sa joue frôler le col hu
élie se raidit, ses doigts crispés sur l
ar ici ? cria l'un des poursuivan
ntre la poitrine de Gabri
oix, douce comme une lame bie
faites
ps hési
e je porte es
squement la tête,
rent ceux, impénét
it-il de ment