L'héritage sous contrat
ppel professionnel rapide, le ton aiguisé et précis, l'épaule calé
it un signe
Clara, son regard brillant d'une anticipation malicieuse. Il vient e
son téléphon
nt. J'ai déjà la Maison du Goût à gérer
t il faut que tu lui dises toi-même pour l'urgence de
fraîchir. Elle se regarda dans le miroir. Le maquillage ne cachait qu'à moitié les cernes
que la stagiaire annonça par l'interp
fondation est arrivé. Il est... il
l'agacement prenant
minute ! lança-t-el
a, les yeux écarquillés, fixant
impeccable. Son allure décontractée, presque royale, contrastait avec l'urgence qu'il avait mise à venir.
stylo qu'elle tenait. Le bruit sec sur
n sourire professionnel ; c'était un
rmina, dit-il, sa voix grav
une vague de froid glacial remontant de ses pieds
impossible, ba
rchant de l'aide, mais Clara ét
ança, sa déma
pas impossible. C
na. Son regard, si intense la veille, étai
. Le client mystère. Et le gâteau que je commande
sé venait de subir un nouvel assaut, bien plus
e... elle s'arrêta, incapable
. Je suis l'homme que vous avez payé hier soir, à m
Elle se couvrit la bouche, horrifiée.
s la PDG ; elle était la femme faible et désespérée qui achetait l'affection et l'oubli. Et cet homme, le seul qui l'ait
mon bureau ! réussit-elle à cracher,
rdre. Il passa une
er. Mais professionnellement parlant, votre pâtisseri
rmina, se levant brusquement, fa
ud que vous avez payé hier soir, Mademoiselle Germina, est aussi c
pour que seule Germina l'entende, son ton
à payer : vous allez devoir travailler avec moi. Car vous me devez ce gâteau. Et je crois q
le sien, sans une once de piti
emoiselle Germina, vous avez un petit problème d'arômes à la Ma
du Goût. Il avait toutes les cartes en main. Le désespoir de la nuit et l
apé, n'arrivait pas à détourner son regard du visage de Gabriel Delattre
n plus gros client. L'image de Samuel, le profiteur, se superposa un instant au visage de Gabriel, mais Gabriel était pi
nt qu'un sifflement rauque. Je vais vous faire annuler ce contrat avant que vous n'ayez eu le temps
la PDG de La Fleur Sucrée qui paie mille cinq cents euros pour une nuit avec un homme qu'elle rencontre dans la rue... histoire que
maître. Germina n'était pas menacée dans ses financ
a, dit Germina, les ye
iselle. Vous avez une vie entière à perdre. Mo
sa voix, intervint,
vous ? Que v
ent vers Clara, faisant
j'en suis sûr. Et je suis surtout un homme qui a été payé pour une nuit de passion par la fe
on attention
èrement : le gâteau. Deuxièmement : vou
aite. Il savait pou
. comment le
e la meilleure pour les arômes. C'est urgent pour ma fondation, car nous préparons un autre évé
a ses deux mains à plat sur le
me prouver que vous êtes aussi exceptionnelle en crise qu'au lit. C'est mon offre. Si vous refusez, j'a
voyait le visage déçu de son défunt père. Elle sentit la rage monter, froide et calculée, une nouvelle
oix revenue. Je vais résoud
, un geste qui signifiait qu'elle a
j'ai une réputation et un empire à défendre. Vous ne m'avez pas achetée. Vous m'avez louée pour
tourna ve
ppelle la Maison du Goût pour confirmer ma
êtant juste avant de sortir pour lanc
ons fini, plus vite je n'aurai plus à sup
urit, le ch
Germina. J'apprécie votr
rire s'adoucissant légèrement, un
ne suis pas seulement un salaud. J'ai aussi
ssant Clara seule, sous le choc de l'évén