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Son héritier, sa fuite

Chapitre 3 

Nombre de mots : 1215    |    Mis à jour : 19/08/2025

ancinante dans l'abdomen. L'odeur d'antiseptique emplissait mes narines. J'étais dans une

pensée fut p

. Ma main est allée instinctivement à mon ventre. Il était toujours

Je devais savoir

ment. J'ai trouvé un peignoir drapé sur une chaise et je l'ai enfilé. Le coul

infirmière, un médecin, n'importe qui. En approchant du poste des

à son assistant personnel, un homme nommé Marc. Je

it hésitant, préoccupé. « Quitter Madame de la

e, dénuée de toute inquiétude. « Katarina était hystérique. Elle

it laissée en sang dans une voiture accid

nsieur. De votre enfant. Ce que vous avez

a bouche pour étouffer un

açant. « Une petite frayeur était nécessaire. Elle se rebelle. La scène aux

lque chose d'autre. Quelque chose qui s'était passé après. On

compte. Amélia n'est que le porteur. Un incubateur. Un moyen p

, chacun atterrissant avec une force brut

ne sait toujours rien sur la do

a Adrien. « Et même si elle le faisait, que ferait-elle ? Elle

dans un cri silencieu

pas une erreur. Il avait intentionnellement

que j'avais aimé, l'homme que j'avais sauvé, était un monstre. Un tueur de sang-froid qui avait orche

e qui me donnait la chair de poule. « Elle m'aime. Elle est faible. Elle me pardonnera de

r, mon esprit un maelström d'horreur et de chagrin. Il

ne idée de qui

elligente. Je deva

ne infirmière entrait. Je me suis allongée dans le lit

illée ! » dit-elle joyeusement. « Vo

» demandai-je, ma voi

et le bébé allez parfaitement bien. Le médecin a ordonné que vous restiez en observation. Et n

nnaient à mes oreilles. Une p

laça. Il avai

etit sourire confiant. Je devais j

d'imagerie, les lumières vives de l'hôpital clignotant au-dessus de ma tête. Ils étaient gent

staller sur le lit étr

eur maintenant, Madame de la Roche, » dit l

dans le tube cylindrique et étroit, mon souffle se coup

t-être six ans. Jouant à cache-cache avec mes cousins. Je m'étais cachée dans un

riffant et hurlant, piégée dans cette petite boîte suffocante. Mon père m'av

puis. Adrien le savait. Il savait que c'étai

au battement frénétique de mon cœur. J'étais piégée. Les murs étaient à quelques

arois du tube, mes ongles raclant le plastique dur. Mais personne n'es

rétréci à ce tube suffocant. La douleur dans mon abdomen est revenue, aiguë et in

mps je suis restée là-dedans

j'allais perdre connaissance, le bruit s

ntes. Une silhouette se tenait au-dessus de mo

Étienne

-il, le visage sombre. « On dira

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