Des cendres: Une seconde chance
s avec un empressement désespér
anger. Une nouvelle vie, un nouveau départ. Elle sera pa
r au lit, l'emmenait pour de tranquilles promenades le long de la côte, et s'asseyait avec el
é. Sa belle-mère louait la dévotion de Dominique. « Tu vois ? » avait-elle dit à Hélo
t sur son téléphone toutes les quelques minutes. Elle remarqua les cadeaux qu'il lui apportait – un foulard en soie d'un bleu que Juliette adorait, un r
rit fin un mar
rte s'ouvrit violemment. Dominique se tenait là, le visage un masqu
fait ? » gronda-t-il e
ans le pot de térébenthine. « Je n'a
ésonnant dans le grand espace aéré. « Ju
ans sa peau. « Elle est à l'hôpital, Héloïse ! Elle a
entre eux. Juliette a essayé de se tuer.
. Ni choc, ni pitié. Just
a, sa rage cédant la place à un son brut et cassé. « Et c'est de ta fa
elle avait autrefois aimé, son visage déformé pa
haine. « Comment peux-tu être si froide ? C'est ta sœ
c'était lui qui l'avait laissée brûler.
» demanda Héloïse, sa voix un murmure
pas assez. Tu vas expier. Tu iras la voir, tu te met
ne se resserra, son visage à
e reste de ta vie. Tu seras sa servante. Tu feras tout
'amour qu'elle avait ressenti. Pourquoi ? Pourquoi, après tout, ses mots avaient-ils encore le pouvoir de
sur les bords. Elle ne trouvait pas les mots pour se déf
it-elle à murmurer, les mots ayant un goût d
onnant d'une conviction absolue. « Juliette est pure. Elle
peut-être la conscience de sa propre cruauté – traversant s
était tr
t et se transforma en un éclat de rire plein et strié de larmes. Le son était sauvage e
èrent en un tourbillon sans signification. La dernière chose qu'elle vit fut l
monde dev