Des cendres: Une seconde chance
e elle se préparait était la chose la plus
ré près de la fenêtre, la lumière de l'après-midi se déversant sur la toile d'un blanc immaculé.
ils étaient empreints d'une détermination glaçante. Elle traitait
t sur le bord du lit, la toile à portée
prête »,
i hurlait de le jeter, de la supplier de lui pardonner, de mettre fin à cette folie. Mais ses yeux froids
s'agenouilla près du lit et pressa
Il sentit le pouls faible et régulier sous elle. Son cœu
ura-t-elle, sa vo
les yeux
ssit, formant une gouttelette cramoisie parfaite qui glis
suivit. Et
si fort qu'il dut se retirer, un so
expression d'une concentration intense. Elle trempa son pinc
tait d'un rouge pr
taient le doux bruissement du pinceau et le faible goutte-à-goutte rythmé du san
rbillon abstrait de chagrin. C'était un visage. Le visage d'un bébé, dormant paisiblement. Mais ses yeu
ine pellicule de sueur apparut sur son front. Sa main, celle qui
ontinuait de suinter du sang
r étouffer Dominique, la voix ra
uleur, toute sa trahison, tout son amour brisé sur cette toile. La peintu
. Le dernier trait était achevé.
erminée, un sourire am
aible et aérien. « Une bénédiction pour t
nt, et elle s'effondra en a
te avant qu'elle ne touche le sol. Son corps
t sur lui. Ce n'était pas une expiation. C'était de la torture. Il avait pris son plus grand don, sa passi
ant de panique et de dégoût de soi. « Fa
tête ballottant contre son
t il se pencha pour ent
fini, Do
t bien, qu'il était désolé, si profondément déso
x étaient flous, mais ils trouvèrent les siens. Elle poussa la
vous, toi et Juliette, profiter de votre aven
Sa tête retomba
et. La coupure suintait encore paresseusement
a son visage immobile, ses yeux clos, la légère teinte