Ma belle-sœur, mon enfer

al de tête lancinant et un sent

on lit. Mais elle

e. Un bras d'homme. Elle était nue. Pressé

e s'éloigner en rampant, mais ses membres lui semblai

orte de sa chambre. La voix de la ge

pouvez pas entrer !

spicion. « Pourquoi je ne peux pas e

le se débattit, essayant de repousser le corps de

s'ouvrit

un bouquet de ses fleurs préférées à la main, un espoir dése

rut à l'instan

ent la scène. Elle, nue. L'homme étranger da

t de sa main, s'épa

ant en une rage sombre et meurtrière. Ses yeux d

Fait ? » murmura-t-il, les

et confus hors des draps et le projeta contre le mur. Un rugissement brutal et guttural s'échap

isser au sol en un tas informe. Il tou

x tremblante de fureur, « et c'est ce que tu fai

porte, une robe de chambre serrée autour d'elle. E

t laid, illumina ses yeux avant

» s'écria-t-elle. « Après tout

sur la table de chevet et le

lard dans l'esprit d'Alexandra. Elle lutta pour s'as

» plaida-t-elle, la voix rauque. « J'ai

la vue de Cédric. « N'écoute pas ses

un geste vicieux, le fracassa con

d'Alexandra. Elle sentit un filet de

de la protéger luttant contre la rage qui le

use. « En tant que femme de ton frère, en tant que doyenne

qui se recroquevillait dans le couloir. «

ains tremblantes, avec un f

èvres. Elle trempa le fouet dans l'eau salée et, avec

oquet de douleur étranglé. La

regardant, son visage un masque de pierre. Son manque de résistance, ses cris de douleur, i

lui déchirait la peau, une agonie fulgurante et br

versa l'eau salée sur ses

long cri perçant d'agonie pure q

age de Cédric. Il rugit

RÊTE

ur son visage alors qu

Elle se serra le ventre, son

-elle, la voix faible.

ment vers elle. Il vit la tache som

x fut in

ourant de la pièce, laissant Alexandra

nouveau seule.

e chevet, ses doigts laissant une traînée sanglante sur

nt d'être soignée. Elle vit Cédric au bout du couloir, faisant les cent pas avec anxié

ant lui. Il lui jeta un regard, les yeux pleins

ératoire s'ouvrit.

Comment va-t-elle ? C

e. « Elle a un groupe sanguin rare. Nous avons besoin d'une tran

couloir, sauvages et désespérés

que. « Prenez son sang. Elles

t de sa blouse d'hôpital. « Monsieur, cette femme n'est pas en état de donne

Il s'approcha du médecin, sa voi

gnerai tout ce dont vous avez besoin.

s yeux. C'était fini. Tout. L'amour, l'espoir

on lui inséra l'aiguille dans le bras. Elle regarda son propre sang, sombre et rouge, coul

range sentiment de p

e lui avait donné son enfant. Main

payée. Elle ne

re, Alexandra, faible et étourdie, se leva du lit. Elle ignora le

ula son mince manteau autour d'elle, frissonnant. Son doigt effleura son annulaire. Il était nu. Elle n

t de Camille. C'était réel. Sa bague n'était qu'un

es vives du terminal de l'

l sombre. Alexandra appuya sa tête con

spère que tu auras une belle vie